Moonlight

Moonlight

Au commencement étaient l’absence et le désir.

Au commencement étaient le sang et la peur.

Au commencement étaient la peur et le désir.

Moonlight.

Dawn…

Au commencement étaient l’absence et le désir.

 

 

 

 

 

Prologue

 

" L'Espoir,

Il faut qu’ils se trouvent

Pour que l'Espoir dissipe les Ténèbres

 

Il faudra qu'ils s’unissent malgré leurs différents,

Quatre seront toujours purs,

Un sera mêlé,

Une dernière sera perdue...

S’ils s’unissent,

La paix pourra être...

S’ils ne s’unissent pas, le mal sera fait...

Dans ces Ténèbres, il reste encore un espoir...

Ils devront vaincre leurs peurs et affronter le mal...

La perdue sera importante, et sans elle rien ne peut être gagné,

Ses amis seront là pour la soutenir dans ces intrigues...

Le Seigneur des Ténèbres fera tout pour les séparer, jusqu'à détruire des familles...

Deux laisseront leur vie pour en sauver deux autres,

Il faut qu'ils restent ensemble, sinon le bien ne sera plus...

C'est la dernière chance...

Un dernier espoir dans les ténèbres"

23 décembre 1980...

"Elle a les yeux de sa mère..." Voilà tout ce que pensaient les personnes présentes à cette petite soirée fêtant l’un an d'une petite fille adorable. Cette dernière dormait dans les bras de sa mère qui la berçait tendrement pour ne pas la réveiller. Elle regarda par la fenêtre et vit le magnifique manteau de neige étincelant recouvrir la cour du manoir, des roses rouges emprisonnés dans la glace semblaient briller sous la lune et les étoiles... Cela donnait un air fantastique au paysage s’étendant au dehors. Susan Rosela Rewen regardait ce paysage qu'elle aimait tellement tout en continuant de bercer délicatement son enfant. Elle lui chantait une magnifique berceuse où plusieurs sentiments émergeaient comme l'amour, la tendresse, la tristesse, la nostalgie mais également l'espoir... Susan pensait à sa meilleure amie qui était en danger et elle avait peur pour elle... Mais elle avait peur également pour sa propre fille, elle devait la protéger même si elle devait y laisser la vie... Sa fille... Susan l'enviait, sa protégée était tranquillement endormie ne se souciant point du danger dehors. Elle était insouciante et c’était cela que Susan regrettait de ne pas avoir ; l’insouciance.

 

Susan descendit avec sa fille, la tenant toujours dans ses bras. L’enfant se réveilla sous les murmures de l'assistance mais ne pleura pas. Elle regarda seulement autour d'elle et poussa un petit cri lorsqu’elle vit le magnifique sapin de Noël se tenant juste devant elle et où se trouvaient des paquets joliment décorés...

Susan se baissa et posa sa fille à terre. Cette dernière se précipita rapidement vers les cadeaux mais contrairement à ce que l'on pu croire ; la petite ne déchira pas les paquets mais commença à défaire les ficelles calmement et avec concentration sous le regard attendrie des personnes présentes. Une fois sa tâche terminée, l'enfant sortit un petit chat roux et sous le regard surpris de l'assistance, elle dit d'une voix qui magnifiquement douce et fière :

-Kelo ! …Appelle… Kelo ! Dit-elle en caressant le petit chat roux qui ronronnait sous les caresses de sa jeune maîtresse.

Susan était fière et amusée par sa fille comme la plupart des personnes présentes. L'enfant garda le chaton sur ses genoux et déballa les autres cadeaux d'où apparurent des livres, des petits bracelets et quelques peluches sous l'oeil attentif et admiratif de la petite. Puis, elle ouvrit le dernier cadeau contenant un petit collier où un rubis pendait à la chaîne. Susan s'approcha et mit le collier autour du cou de sa fille qui serra sa mère dans ses bras...

 

En fin de soirée, certains invités prirent le départ tandis que d'autres continuèrent à discuter avec la famille Rewen. La petite dernière s'était endormie sur le fauteuil de son père avec le petit Kelo qui dormait lui aussi à coté de son amie. A vrai dire, ils s'étaient endormis tous les deux quand Susan leur avait chantonné la berceuse tant appréciée.

 

Tout était calme... Mais cela ne dura pas...

 

Soudainement une alarme retentit dans le manoir et réveilla en sursaut les deux endormis. Voyant que ses parents semblaient affolés, l’enfant se mit à pleurer, ce qui ramena ses parents à la réalité.

 

- Susan, prend la petite et partez ! C'est elle qu'Il veut ! Prend la et pars !

- Je ne peux pas t'abandonner John ! Je la prends, je la pose et je reviens t’aider !

- Dans tout les cas prends-la et protège-la ! dit-il en l'embrassant une dernière fois.

 

Susan monta à l'étage où elle prit une lettre dans le bureau de son mari. Elle couru ensuite jusqu'à l'arrière de la cuisine et ouvrit à la volée la porte se trouvant devant elle. Une fois qu’elle l’eut franchi, elle transplana....

 

Elle atterrie avec sa fille dans une petite ruelle sous la neige et se dirigea vers une maison à l'allure chaleureuse. Là se trouvait un jeune couple ayant un sourire aux lèvres d’après ce qu'elle put voir par la fenêtre.

Elle s'approcha de la porte et posa délicatement sa protégée sur le perron de la maison…

Elle la regarda et sa fille lui rendit son regard, Susan ne voulait pas l’abandonner mais quel autre choix avait-elle ?

 

Elle se baissa et se mit à la hauteur de sa fille. Elle lui murmura en versant une larme, une seule et unique larme...

 

" Nous nous retrouverons, je te le promets. Je te protégerai ! Pardonne-moi d'être obligé de faire cela mais c'est pour ton bien... Je t'aimerai toujours ma petite Hermione Mélodie Susan Rewen Granger…"

 

Susan sonna ensuite à la porte et regarda une dernière fois sa fille avant de partir. Elle aurait peut-être droit à la mort mais elle était rassurée de savoir sa fille en sécurité…

Ce soir-là, Hermione était devenue une Granger. Juste pour la sauver d'un mal dont elle n'y était pour rien. Elle était sauvée jusqu'au moins ses quinze ans. Pour l'instant elle allait vivre entourée d’un amour qui venait en partie de lui sauver la vie...

 

Hermione Mélodie Susan Rewen était devenue Hermione Jane Granger en laissant ses parents se battre pour la protéger et un petit Kelo apeuré...

 

Hermione était en sécurité... Et elle avait construit un espoir pour le monde sorcier mais cela elle l'ignorait.

 

Chapitre 1.

23 août 1995

       Point de vue d’Hermione :

Les doux rayons de soleil sur mon visage me réveillèrent de mes songes que je ne voulaient plus quitter pourtant il le fallait, j’en était consciente…

J’observais ma chambre, le temps que mes yeux voyant clairement. Ils se posèrent d’ailleurs sur un petit paquets poser sur mon bureau impeccablement ranger. Aujourd’hui était l’anniversaire d’Eléonore, une de mes meilleures amies moldu et la seule…

Elle allait avoir quinze ans et cela fera exactement sept ans que nous nous connaissons ! Je n’était pas dans la même école que Eléonore Gybla étant donner que je suis une sorcière et elle une moldu- il faut savoir que les moldu ne connaissaient pas l’existence des sorciers, étant donner qu’ils ne possèdent pas de pouvoirs magiques, cela est préférable.

Alors pourquoi n’avais-je aucune idée de me lever ?  Peut-être car j’avais tout simplement le désir de rester dans mes songes et de tout oublier ? Sûrement…

Avais-je seulement envie de retirer ma couverture, d’ouvrir mes rideaux et voir la vérité en face ? Cela n’en valait pas la peine mais j’étais obligé de le faire…

Le premier septembre, j’entrerai en cinquième année à Poudlard et que découvrirai-je en entrant dans le château ? Un mangemort ?

Pour la première fois, je n’avais pas envie de retourner a Poudlard… Je n’avais pas envie de me retrouver face a la guerre, les morts….

Apres quatre ans d’acharnement pour tout faire en sorte que Voldemort ne revoit pas le jour, nous avions échoué…

Et maintenant la guerre commençait…

Perdu dans mes pensées, je sursautai quand un petit Toc, Toc se fit entendre a ma fenêtre. Un hibou du ministère était la, me regardant de ses yeux perçant…

J’allai lui ouvrir, pris le journal qu’il me tendait et lui donna dans sa bourse quelques noises et galions payant ainsi comme touts les matins, mon achat.

 

Je descendis prendre mon petit déjeuner, le journal a la main. Finissant de le préparer, je posa le tout sur la table, m’assit et commença à le déguster tout en lisant le journal…

Je failli le lâcher voyant le premier article ;

“ Durant le tournoi des trois (quatre en l’occurrence) sorciers, il y a eu plusieurs étapes dont tout le monde à connaissance. Cependant, Mr. Harry Potter a certifié à la troisième tâche que Celui-Dont-On-Ne-Dois-Pas-Prononcer-Le-Nom serait revenue à la vie grâce à l’assistance de Mr. Peter Pettigrew. Ce dernier aurait si, nos sources sont exactes, tué Mr. Cédric Diggory. Or, tout le monde se souvient que Mr. Pettigrew est mort, tuer par le célèbre Sirius Black. Nous répétons donc à ce jour que Vous-Savez-Qui n’est pas revenu parmi nous. La communauté sorcière n’a donc aucun soucis à se faire face aux délirantes affirmations de Mr. Potter.”

 

Il me fallut quelques secondes pour assimiler la nouvelle… Comment osaient-ils dirent qu’Harry mentait ? C’était insensé ! Avaient-ils si peur que cela en cachant la vérité a tout le monde ? A quoi bon !

Mentir n’était pas la solution pour tout problème ! Et surtout sur ce genre de problème !

J’essayais tant bien que mal de me contenir et ce fut l’entrée de mon père qui me calma instantanément…

 

-         Bonjour ma chéri ! Me salua t-il.

-         Bonjour papa1 Bien dormi ? Le saluais-je à mon tour, ne laissant pas paraître ma colère qui diminua petit a petit.

-         Très bien ! Et toi ? Tu a l’air frustrer…

-         Ce n’est rien cela va passer… J’ai également bien dormis. Il faut que je me dépêche pour ne pas arriver en retard pour Eléonore !

-         D’accord, alors on se voit se soir !

-         Oui c’est ça ! Salut !

 

Je m’éclipsait vite fait, alla me préparer, pris le cadeau, une veste et ma baguette au cas ou… Tout cela en moins de cinq minute !

Une fois a l’extérieur, je poussai un soupir. Mon père et moi n’étions pas bavard c’est le moins que l’on puisse dire !  Mais cela ne dérangeait ni lui ni moi, alors…

 

Il ne faisait pas beau et froid pour cette fin d’été… Le  ciel gris tenebreux n’était pas des plus rassurant mais en meme temps il ne faisait pas souvent du soleil a Dartmouth.

Il y avait peu de monde dans la rue, seulement une mere et un jeune enfant… Ils passerent a cote de moi au moment ou la mere faisait un doux bisous sur le front de l’enfant… Je fut prise d’un sentiment inexplicable et incontrolable… Une larme vient couler sur ma joue pendant qu’au meme instant l’enfant disait a sa mere qu’il l’aimait…

Je continuait donc de marcher sur la rue maintenant deserte qui d’une certaine facon n’était pas pour me deplaire…

Le chemin en direction du cafe ou je devait rejoindre Eleonore était plutôt eloigner, donc il me restait encore vingt bonne minutes a marcher…

Je me plongeai donc dans mes pensees, la guerre, mes parents…

Il ne me restait que mon père, ma mere etant morte une annee avant que je n’entre a Poudlard… Je tenait plus que tout  a mon père, et je devais bien l’avouer j’etais terrifiee a l’idee qu’il puisse lui arriver quelque chose durant le temps que je serai a l’ecole…

Cela me forca a diriger mes pensees vers la guerre qui se rapprochait.  Je n’avais pas peure de mourir, j’avais peur que mes amis et ma famille meurt… Cela était totalement different…

J’etais prete pour me battre, a s’acriffier ma vie pour les sauver… Mais si jamais il  arrivait le contraire… Je ne preferais ne meme pas imaginer ma reaction.

Dans tout les cas, il y aurait des morts…

 

Un bruit me fit sortir de mes pensees . Un chat me fixait attentivement…  Il était de couleur noir, biensur je n’avais pas asser d’ennuis comme cela, j’avais moi-meme un chat mais jamais il ne m’avait regarder de cette manière la ! Je le fixait a mon tour et je fus profondement troubler par le regard qu’il me lanca…

Il ne semblait pas… animal. C’était etrange et une sensation etrange s’empara de moi… J’essayais de me souvenir quelque chose que nous aurait appris le professeur Lupin a propos d’animaux et le mot «  Animagus » me revient brutalement.

Je regardais alors  attentivement ce chat et prefera continuer mon chemin. Il ne me suiva pas et cela me rassura.

 

Je decouvris alors avec etonnement que je me trouvais a deux pas du cafe du nom de «  M. Pico », ce dernier ou je devais rejoindre Eleonore !

J’entrai donc soudain toute souriante. Elle se trouvait un peu plus loin, l’air dans ses pensees et je la rejoingnis immediatement.

 

-                      Bonjour Elo! M’enthousiasmai-je

-                         Mione! Comment vas-tu? S’exclama à son tour Eléonore.

-                         Bien, je vais bien et toi?

-                         Super bien!

-                         D’ailleurs, j’ai quelque chose pour toi! Joyeux anniversaire! Dis-je en sortant une petite boîte que prit Eléonore. Cette dernière s’émerveilla devant la jolie gourmette que je lui avait offerte

-                         Ho! Merci Mia! C’est super joli ! Tu vas sûrement rire mais je t’ai acheté un cadeau comme on ne se verra pas le dix-neuf septembre!

 

Sur ces mots Eléonore sortit également une petite boîte qu’elle me donna. Je l’ouvris et fus stupéfaite devant ce que contenait la boîte.

-          

-                         Quelle coïncidence!!!M’exclamais-je. Sous mes yeux se trouvait la jumelle de la gourmette que je venais d’offrir à ma sœur de cœurs.

-                         Il n’en existe que deux au monde et elles sont uniques. Elles sont jumelle sauf que la mienne à une pierre violette et la tienne une rouge. Un rubis plus précisément!

-                         Merci beaucoup Elo! Repondis-je e en la prenant dans mes bras.

-                         Bon! Et si nous allions nous promener à présent ? Je n’ai pour l’instant pas très envie de faire les boutiques!

-                         Je suis d’accord! Répondis-je pas vraiment fan de shopping.

 

Nous sortimes du café et se dirigeames vers le parc où j’ étais passé précédemment, sous un ciel encore plus noir que tantôt.

Nous nous asseyames sur un banc sec et gardames le silence durant un petit moment.

 

-                         Je vais changer d’école. Dit enfin Eléonore.

-                         Où vas-tu? Demandai-je aussitot

-                         Je reste en Angleterre mais si je te disais où tu ne me croirais pas…

-                         Peut-être que si…

-                         Fais moi confiance Hermione….

-                         Comme tu veux…

 

Le silence retomba rapidement entre nous…

 

-         Parle-moi de ton école, Mia.

-          Il n’y a pas grand chose à raconter car comme je te l’ai dit, c’est une sorte de pensionnat.

-         Oui mais tu dois bien avoir un amoureux?

-          Pour te dire la vérité, non il n’y en as pas.

-         Tu n’as même pas de garçon en vue?

-          Non…

-          En faite, tu t’en fiche complètement?!

-         Un peu oui…Mais toi, en as-tu un?

-         Non et puis tant mieux étant donné que je change d’école…

-         Tu es certaine que tu ne veux pas me dire où cela se trouve ? Ou au moins le nom du collège? Redemandai-je

-         -Non Mia, je ne peux pas….

-         -Je comprends. Tout le monde a ses secrets…

-          Exactement… Tu ne trouves pas qu’il fait froid?

-         Si beaucoup même…

-         Le grand blond t’embête toujours? Demanda Eléonore faisant référence sans qu’elle le sache à  Drago Malfoy.

-         Ho que oui mais bon j’ai l’habitude. S’il continue, il finira comme son père. Une personne complètement folle et ayant des préjugés sur tout et tout le monde… dis-je en soupirant.

 

Nouveau silence. Soudainement, le vent se leva brusquement nous faisant sursauter, chacune perdues dans nos pensées…

-          

-                         Mais que se passe-t-il aujourd’hui? S’écriai-je.

-                         Je ne sais pas mais je n’aime pas ça… répondit Eléonore.

 

 

En un seul instant, le vent retomba comme il était venu, brusquement. Me  faisant  tombée , sous sa force,lorsque je m’était levee inquiete.

 

-                         Ca va Mia?

-                         Oui mais c’était vraiment étrange !répondis-je en scrutant les alentours.

 

Je n’aimais vraiment pas cette idée qui avait germée dans mon esprit la tantôt…

-              Quand est-ce que tu pars chez tes amis? Demanda Eléonore.

-              Ce soir.

-              On se reverra en Octobre?

-              Oui, je pense.

-              Bon, il vaut mieux y aller!

-              Tu as raison!

 

Sur ce, nous partimes chacune dans une direction différente après s’être fait un dernier câlin.

 

Quand j’arrivais moi , je rentra dans ma chambre et regarda ma nouvelle gourmette autour de mon poignet.  Ma meilleure amie portait quasiment la même et j’en était heureuse…

Je fisrapidement ma valise et descendis au salon où je me posa devant la cheminée en attendant mes amis qui venaient me chercher…

Laissant mon regard parcourir la pièce, je regardai quelques photos et m’arrêta sur l’une d’entre elles. Sur celle-ci, on pouvait me voir avec Jane Granger, ma mère morte il y a maintenant six ans… Une année avant mon entrée à l’école de sorcellerie de Poudlard.

Morte dans des circonstances étranges, dit-on…

Je fus sortit de ses pensées par la cheminée qui crépitait et où apparurent deux grand rouquins qui tombèrent sur moi en essayant de sortir de la cheminée.

-              Oups! Désolé Mione! S’excusa Fred en l’aidant à se relever.

-              Fredy! Tu pourrais m’aider aussi! S’exclama son frère.

-              Non, je ne peux pas. Cela irait à l’encontre de mes lois!

-              Quelles lois? Il n’y a pas de lois! S’exclama George.

-              Mais que si!

-              Mais que non!

-              Si!

-              Non!

-              Si

-              Non

-              SiNon

-              SiNon

-              Les garcons!!!! M’exclamai-je alors.

-              Hermione!!!! S’exclamèrent-ils ensemble.

-              Bravo ! Vous connaissez mon prénom! Au bout de quatre ans! Me moquai-je.

-              Hermione, ta coiffure est pire que d’habitude! S’exclama George.

-              Je te déteste quand tu dis ca!

-              Nous aussi, on t’aime!

 

Ils se regardèrent et éclatèrent de rire, notre dialogue n’avait aucun sens…

 

-              Alors, il vaudrait mieux y aller. Sinon Ginny va nous envoyer un chauve-furie si on prend trop de temps!

-              Très bien, allons-y!

 

Nous primes donc le réseau de cheminée et nousretrouvames dans le salon des Weasley.

Nous tombames une fois de plus à la renverse. Entraînant Ginny, Harry et Ron dans leur chute…

Nous eclatames à nouveau de rire et nous relevames.

-              Salut Mione! S’exclamèrent Harry et Ron en me prenant dans leurs bras.

-              Arrêtez ! Vous aller l’étouffer! S’exclama Ginny.

-              Salut Gin’!

-              Salut Mia! Dit Ginny en me prenant à son tour dans ses bras.

 

Nous partimes ensuite dîner puis j’allai rejoindre la chambre que je partageais avec Ginny.

 

Une fois que nous fumes couché, aucune de nous deux n’arrivames  à s’endormir et nous decidames de discuter un peu.

 

-              Ginny?

-              Oui?

-              Tu crois qu’il y aura une guerre?

-              Je ne l’espère pas…

-              Je ne sais pas pourquoi mais j’ai le sentiment que cette guerre sera plus compliquer que l’on ne le croit.

-              Moi aussi… Mia? J’ai peur...

-              Moi aussi mais tu sais tu es une fille courageuse…

-              Pas autant que toi..

-              L’important c’est d’être soi même…

-              Tu as revu ton amie moldu?

-              Oui et elle a changé d’école. Elle n’a pas voulu me dire où.

-              Elle te le dira au moment voulu.

-              Je ne peux pas m’empêcher de m’en vouloir de ne rien lui dire.

-              Ne t’inquiète pas…

-              J’ai peur pour elle et mon père… Cette guerre ne les concerne pas…

-              Mia, ils seront toujours là pour toi. Comme moi, Harry et Ron…

-              Merci…

-              De rien, c’est normal.

-              Bonne nuit Gin’.

-              Bonne nuit Mia.

 

Nous plongeames ainsi dans les bras de Morphée éloignant ainsi nos craintes face à cette guerre qui s’annonçait. Bien malgré nous…

 

 

Chapitre 2.

Le lendemain, Hermione se réveilla en poussant un hurlement stride qui du résonner jusqu’a la maison des Lovegood qui se trouvait derrière la colline…

Mais n’oublions pas que son hurlement ne fut rien comparer a celui de la jeune Weasley..

Pourquoi tout ces cris matinaux? Et bien ceci serai de la faute des jumeaux Weasley qui avaient eu la formidable idée de réveiller ces jeunes demoiselles en les trempant jusqu’aux os…

-              FRED ET GEORGE WEASLEY, VOUS ALLEZ REGRETTER CE QUE VOUS VENEZ DE FAIRE!!!!! Hurla Ginny tremper dans son pyjama, contre les pauvres jumeaux qui n’avaient pas prévus qu’elles hurleraient si fortement.

-              Mais Ginny… C’était juste une blague! Tanta George.

-              JUSTE UNE BLAGUE!!!! NON MAIS CA VAS PAS DE NOUS FAIRE DES COUPS PAREILS?!

 

Les jumeaux ne purent répliquer car Moly arriva en trombe dans la chambre, baguette en main. Elle regarda la scène qui s’offrait a elle et compris tout de suite…

Elle se tourna lentement vers les garçons qui semblaient vouloir disparaître sous terre, peine perdue…

 

-              Les garçons… dit elle calmement et froidement, le calme avant la tempête… QU’AVEZ VOUS DANS VOTRE TETE POUR FAIRE UNE TELLE BLAGUE A GINNY ET A HERMIONE?! VOUS AVEZ 17 ANS ET VOUS VOUS COMPORTER COMME DES GAMINS!!!!

-              Mais maman…

-              Non Fred, cette fois vous avez été trop loin, beaucoup trop loin!!!

 

Hermione voyait que Moly était très en colère, et elle ne voulait pas qu’elle se fâche avec ses fils…

 

-              Moly, vous savez je crois que Fred et George ont bien voulu faire… Ils ont peut être penser que avec ces temps… Pas tres joyeux… Ils fallait donner le sourrire un peu au gens et le moyens de faire des blagues est peut etre plus simple pour eux… Moi, je les ai pardonnee..

-              Je suis d’accord avec Hermione! Dit a son tour Ginny voyant ou voulait en venir son amie.

-              Bon, si les filles vous ont pardonnees alors cela passe pour cette fois… dit Moly avant de sortir.

 

Les garcons sortirent egalement, et les deux jeunes filles se regarderent et eclaterent de rire…

 

Elles s’habillerent en hateset decendirent dans la cuisine. Elles lancerent un bonjour a Ron et Harry et s’assairent.

 

-              On vas au chemain de traverse aujourd’hui! Les prevent Ron.

-              D’accord, mais nous n’avons pas recu nos lettres de Poudlard si? S’enquit Hermione.

-              On devrait les recevoirs normalme… commenca a Harry, mais il ne put finir sa phrase que Herole se prit la fenetre en pleine face sous les soupirs de l’assistance.

 

Chacun recurrent une letter sauf Hermione qui en recut deux…

La premiere etait de Poudlard, la deuxieme etait anonyme. Elle froncat les sourcils et montra la letter a Harry…

 

Il la lut a haute voix sous le regard perplexe d’Hermione.

 

“" L'Espoir,

Ils faut qu'ils se trouve

Pour que l'Espoir vient dans ces Tenebres

 

Il faudra qu'ils sunissent malgrer leurs differants,

Quatre seront toujours pur,

Un sera mele,

Une derniere sera perdue...

Si ils sunissent,

La paix poura etre...

Si ils ne sunissent pas, le mal sera faite...

Dans ces Tenebres, il reste encore un espoir...

Ils devront vaincrent leur peur et affronter le mal...

La perdue sera importante, et sans elle rien ne peux gagner,

Ses amis seront la pour la soutenir dans ces intrigues...

Le seigneur des tenebres faira tout pour les separer, jusqu'a detruire des familles...

Deux laisseront leurs vie pour en sauvee deux autres,

Ils faut qu'ils restent ensemble, sinon le bien ne sera plus...

C'est la derniere chance...

Un dernier espoir, dans les tenebres"

 

Avez-vous compris ce texte? La, la clefest cacher, a vous de la trouver… Dans le noir, six bougies sont allumer et ont attend que leur flammes se reveillent…”

 

-              Ce n’est pas signer. Dit Harry.

-              Je ne comprend pas… dit Hermione.

-              Moi non plus… cela parle d’un espoir qui reste dans les tenebres et apparament cette espoir conserne 6 personnes… Tu crois que c’est une prophetie ou quelque chose dans le genre? Demanda Harry a Hermione.

-              C’est probable… mais une citation m’intrigue… “ Il faudra qu’ils sunissent malgrer leurs differants..” que cela veut t-il dire?

-              Aucune idee. Parla pour la premiere fois Ron.

-              En tout cas, cette… enfin ce texte nous conserne puisque on nous la envoyer mais j’aimerai savoir qui… dit Ginny

-              Encore un mystere… s’exclamerent les jumeaux.

 

 

Il etait 14 h20 quand la petite troupe partis sur le Chemain de Traverse sans Moly et Arthur qui avaient eu un empechement de derniere minute.

Etrangement, il y avait peu de monde au Chemain de Traverse… La rue etait pratiquement deserte et le ciel particulierement nuageux… Cela reveille des souvenirs a Hermione qui frissona.

 

-              Bon avec Hermione, nous allons a la librerie et faire les magazins! On se retrouve au Chaudron Baveur a 16h00! Dit Ginny en partant avec Hermione vers la librerie.

 

 

Elles partirent donc toutes les deux dans la rue deserte, elles trouvaient cela etrange…

La lettre et maintenant le Chemain de Traverse desert… C’etait a marquer dans les annals…

 

-              C’est bien silencieux, tu ne trouve pas? Demanda Ginny.

-              Oui, et je te le dis tout de suite ce n’est pas pour me rassurer… repondit Hermione.

 

Elles continuerent le chemain en silence et tournerent finalement dans la rue des boutiques de vetements ou generalement la plus pars des femmes etait la… Hermione et Ginny espererent que ce serait comme d’habitude mais c’etait egalement desert…

 

Elles s’approcherent d’un magazine et virent que celui-ci etait fermer, elles essayerent avec un autre et encore d’autres mais cela donna le meme resultat: Fermer…

 

-              Ca veut dire quoi?! Dit Ginny avec lassitude.

-              Je n’en sais strictement rien… repondit Hermione.

-              Tout les magazins fermer, la rue deserte, un ciel completement noir! Il manquerait plus que des mangemorts et voila la reponse. Soupira Ginny avant de se relever brusquement.

-              Que se passe t-il? S’enquit Hermione.

-              Je crois que j’ai trouver la reponse a nos questions… murmura Ginny en cherchant sa baguette.

-              Qu’est-ce que tu veux… Attend… Tu veux dire qu’il y a surement des mangemorts ici??? Mais pourquoi j’y ai pas pensee plutot! Dit t-elle en se frapant le front.

-              Peut importe mais on ne doit pas rester la! Dit Ginny.

 

Aussitot dit, aussitot fait! Elles retournerent sur leurs pas sous un vent plus violent que il y avait quelques instants… Comme dans le parc ou avait ete Hermione et Eleonore…

 

-              Ginny, attend. Je crois que nous fairions mieux de prendre des petites ruelles car nous sommes trop exposer ici!

-              D’accord mais on passe par ou? Demanda Ginny.

-              L’allee des embrumes?

-              Je ne sais pas si c’est une bonnes idee….

-              En meme temps on a pas trop le choix…

-              Je suis d’accord alors mais tu connais le chemain pour aller au Chaudron Baveur?

-              Non mais on a 2 h00 pour le trouver!

 

Sur ces mots elles continuerent a avancer mais bientot elle atteinrent l’allee des embrumes et durent avouer que cela portrait bien son nom…

Elles avancerent dans la penombre et sursauterent plusieurs fois…

 

-              Hermione… J’ai l’impression que l’ont est suivis…

-              Moi aussi Gin’…

-              Mione… Je crois que c’est pas quelqu’un que l’ont apprecis…

-              Je vois… Bon a trois on courre aussi vite que l’ont peux mais on reste ensemble!

-              Bien… Un, Deux…

-              Trois!

 

Elles commencerent a courrirent dans la ruelle et virent bien que la silhouette egalement, ce qui ne les rassura pas le moind du monde…

 

Et quand elles virent que  trois autres silhouettes avaient rejoind la premiere, elles etaient paniquer…

Elles durent, elles ne surent comment, se serparer… Hermione se trouvait donc a courrir tout en essayant d’echapper a ses poursuiveurs mais essayait de retrouver Ginny en meme temps…

Soudain elle percuta quelque chose de plein fouet et se retrouva progeter a terre… Elle regarda qui s’etait et fus stupefaite…

-              Malfoy?!

-              Granger?!Mais qu’est-ce que tu fous la?

-              Je fais les boutiques ca se voit non??? Dit-elle ironiquement.

-              Dans l’allee des embrumes??? Toi?

-              Tres drole, vraiment! Je cherche Ginny!

-              Weasley Girl? Elle aussi est dans l’allee des embrumes? Mais vous etes malade ou quoi? Demanda Blaise Zabini.

-              On s’est retrouver la contre notre gre! Mais pourquoi le Chemain de Traverse est vide???

-              Aucune idee! Repondis Blaise.

 

Hermione reflechit… Ou pouvait etre Ginny???

 

-              Vous n’auriez pas vu Harry, Ron et les jumeaux Weasley??? Demanda Hermione.

-              Non! Mais vous vous etes tous perdus ou quoi???

-              Plus ou moins… repondit vaguement Hermione, toujours inquitete pour Ginny…

-              T’es sur que ca vas Granger???

-              Non ca vas pas!!! S’ecria alors Hermione.

-              Tais-toi! Dit Drago

-              Et pourquoi?

-              Parce que!

-              Parce que quoi?

-              C’est comme ca!

-              C’est comme ca quoi?

-              Tu me saoul!!!

-              Ca tombe bien moi aussi tu me saoul!!!

-              Vous allez arreter?! S’exclama Blaise.

-              NON! S’exclamerent a leur tour Hermione et Drago.

 

Avant qu’ils aient pu ajouter autre chose, un bruit retentit dans toute l’allee et sans plus attendre Hermione se mit a courrire vers le cri qu’elle reconnu etant celui de Ginny.

Elle se faisait presque devancee par Drago et Blaise qui l’avait rejoind tout en la traitant mentalement de folle…

 

Ils arriverent enfin a destination et s’arreterent brusquement…

Un mangemort et Ginny etait entraint de se battre, plus loin etait recroviller sur eux-meme deux enfants d’as peine 5-6 ans…

 

-Stupefix! S’ecria Hermione en dirigeant sa baguette vers le mangemort qui fit un vol plane.

 

Elle alla rejoinder Ginny qui se jeta dans ses bras des qu’elle la vit.

 

-              J’ai eu si peur… J’essayais de te retrouver après l’avoir semer mais je suis tomber sur ces enfants et le mangemort m’as attaquer… Hermione… Leur parent sont mort… La guerre commence reelement…

-              Je sais… repondit simplement Hermione avec une boule dans la gorge.

Oui la guerre commencait et les jours heureux etaient terminer…

 

 

 

 

Chapitre 3.

Les deux Grifondors resterent encore quelques instants dans les bras l’une de l’autre, pendant que les deux Serpentards etait aux a guets…

-              Il vaudrait mieux partirent. Dit Blaise quand les filles se separerent.

-              Oui, mais que fait-on pour les petits? Demanda Ginny.

-              On les laissent… s’exclama Drago comme si c’etait evident.

-              Non mais ca va pas??? S’enerva Hermione.

-              Je n’ai pas envi d’avoir des gosses sur mes epaules moi!

-              Laisse tomber Hermione, se ne sont que des idiots! Lui di Ginny.

-              Tres bien… soupira Hermione en s’avancant vers les deux jeunes enfants..

 

En s’approchant elle vit que c’etait une petite fille avec un garcon un peu plus grand..

 

-              Bonjour, je m’appelle Hermione et vous etes en securiter… dit-elle doucement.

-              Il est parti??? Demanda le garcon

-              Oui… Je ne vous veux aucun mal…

-              Pouvez-vous nous amenez a notre tante?

-              Oui bien sur, ou habite t-elle?

-              A Londre.

-              D’accord, j’arrive je vais juste le dire a ma meilleure amie et on va vous accompagner…

-              Merci… dit pour la premiere fois la petite fille

 

Hermione lui sourit et retourna revoir les autres qui etaient dans un silence parfait.

 

-              Je vais les amenez a leur tante, va retrouver Harry pour le rassurer! Dit-elle.

-              D’accord mais soit prudente, s’il te plait.

-              Toujours, je suis toujours prudente tu me connais!

-              C’est bien pour ca! fit Ginny avec un sourirs

-              Je rentrerai surment dans la nuit vu qu’il est deja cinq heures.

-              Je previendrais les garcons…

-              A ce soir… Dit Hermione avant de se retourner, sans un regard pour les Serpentards qui partirent avec Ginny en direction du Chaudron Baveur… Laissant seule Hermione dans l’alle des embrumes.

-              Tenez moi bien d’accord? Demanda Hermione

-              Bien.

 

Ils transplanerent dans Londre ou la nuit etait deja bien advancer et les deux enfants lui montrerent le chemain jusqu’a une petite maison ou passait a travers des Rideau, une douce lumiere…

 

Ils sonnerent a la porte et la dites tante sauta dans les bars des enfants et versa des larmes de soulagement tout en remerciant Hermione qui lui dit qu’elle devait parirent sinon ses amis aller s’inquiter…

 

Elle retransplana doncvers le terrier mais au dernier moment changea detineraire en se dirigeant dans un bois ou elle etait venue petite avec sa mere…

 

Elle s’approcha du lac de la clairiere et s’assit au bord…

C’est ici qu’elle venait quand elle voulait etre seules et tranquille, loin du monde qui en ce moment etait en semit catastrophe…

Elle venait parfois pour lire ou simplement se perdre dans ses pensees..

Elle n’avait jamais croiser personne ici et c’etait en parti pour cela qu’elle aimait cet endroit si calme… Personne ne venait jamais ici… En veriter elle ne le savait pas, masi elle n’avait jamais croiser quelqu’un…

 

Elle pensa a la petite famille qui avait etait dechirer aujourd’hui laissant une soeur et un frère orphelin… Elle pensa a l’atitude de Drago et la colere monta en elle… Puis ses pensees se dirigerent vers la lettre de ce matin et elle se demanda se que cela voulait t-il dire…

Qu’est-ce que c’etait?Une prophetie?Une blague?Une erreur? Encore et encore des questions mais sans reponses…

 

Puis sans vraiment savoir pourquoi elle se mit a chantonner une petite musique, qu’elle ne se rappellait pas que quelqu’un lui est un jour chanter… C’est comme si c’etait des souvenirs…

 

“Des images me reviennent

 Comme le souvenir tendre

 Une ancienne ritournelle

 Autrefois en décembre

 Je me souviens il me semble

 Des jeux qu'on inventait ensemble

 Je retrouve dans un sourire

 La flamme de mes souvenirs

 

Doucement, un écho

 Comme une braise sous la cendre

Un murmure à mi-mots

 Que mon coeur veut comprendre

 

Je me souviens il me semble

Des jeux qu'on inventait ensemble

 Je retrouve dans un sourire

 La flamme de mes souvenirs

 

 De trés loin, un écho

 Comme une braise sous la cendre

Un murmure à mi-mots

 Que mon coeur veut comprendre

 Une ancienne ritournelle

 Loin du froid de décembre”

 

Depuis qu’elle avait decouvert le monde de la magie, elle s’etai mise a chanter cette chanson et la melodie sans qu’elle ne l’ai entendue dans la rue, a la television ou que cela soit ses parents qui l’ais chanter… C’etait comme si elle la connaissait depuis toujours…

 

 

 

                Elle fut sortit de ses pensees par un bruit non loin d’elle… Elle se retourna rapidement, baguette en main.Et qu’elle ne fut pas sa surprise quand elle vit le chat noir qu’elle avait vu sur le chemain pour aller voir Eleonore Gybla. Celui-ci la fixait comme la derniere fois avec une lueure etrange dans les yeux que Hermione ne sut identifier…

Hermione se demandait encore une fois qu’avait ce chat avant de se render compte que aucune habitation etait dans cette foret et qu’il n’aurai pas pu la suivre…

 

-              Qui etes-vous? Demanda Hermione, ayant comprit que c’etait un animagus elle etait tres mefiante et esperait que ce n’etait pas un mangemort.

 

Le chat noir se transforma alors en jeune homme aux cheveux marron-noir et des yeux noisette…

 

-              Bonjour, mademoiselle. Dit le jeune garcon, il ne devait pas avoir plus de dix-sept ans.

-              Bonjour, je peux vous demander pourquoi vous me suiviez? Demanda Hermione.

-              Je ne vous suis pas vraiment, vous etes un peu un guide pour moi, je suis etranger et je ne connais pas le monde moldu. Repondit le garcon.

-              Si je l’aurai su, je ne serai pas venu ici! Dit sechement Hermione.

-              Je ne voulait pas vous importuner, loin dela! S’exclama Le jeune homme. Je m’appelle Leon Newer, et vous jeune demoiselle?

-              Hermione Granger, enchanter Leon. Repondit plus doucement Hermione.

-              Excusez-moi mais ne series vous pas a Poudlard?

-              C’est exacte, mais je vous ai jamais vu la-bas. Vous n’etes pas a Poudlard? Demanda t-elle.

-              Non en effet, je suis des cours a domicil depuis enfant a cause de probleme familiaux. Repondit t-il.

-              Vous n’etes pas un mangemort?

-              Loin dela! S’exclama Leon. Je pense inutil de vous poser la question, etant donner que vous etes dans le monde moldu.

-              En effet, je vien ici depuis que j’ai connu cette endroit… C’est ma mere qui me l’avait montrer… Dit-elle avec tristesse.

-              Pourquoi etes-vous triste? S’enquit Leon.

-              Car elle ne pourra plus jamais me le montrer…

-              Ho, je vois. Je suis vraiment desoler toutes mais condoleance en retard de plusieurs annee… Vous savez, j’ai egalement perdu mon pere quand j’avait deux ans, je ne sais pas ou se trouve ma petite soeur et ma mere a disparu…

-              Je suis vraiment desoler..

-              Ne le soyez pas… Ce n’est pas notre faute mais plutot a Vous-savez-qui… Ce qui me rend heureux, c’est que ma petite soeur doit surement etre heureus et en securiter…Pour ma mere, j’espere la revoir un jour…

-              Voldemort. La peur d’un nom de fait qu’accentuer la peur de la chose elle-meme. Je trouve que tout le monde devrait le dire… Car Voldemort souhaite nous faire peur et ce nom meme nous le montre, il faut le pronomcer pour lui montrer que l’ont se bat contre lui et non que l’ont le craint.

-              Vous avez raison, vous savez, quand mon pere a ete tuer il a fait un geste de bravour… Il a sauver ma mere qui allait se recevoir le sort de la mort et la eu a sa place… Voldemort voulait ma petite soeur, c’est pour cela qu’il est venu… Elle est peut etre beaucoup plus importante que Harry Potter dans cette guerre… Et ma mere la proteger…

-              Votre pere etait courageux et votre mere aussi… Je suis sure que vous retrouverez votre soeur et votre mere… Et je vous promait de gagner cette guerre pour tout les gens mort a cause de Voldemort et votre famille sera de nouveau en paix…

-              Merci pour votre promesse mais personne ne peux en faire une telle… Vous etes tres gentile Hermione… Mais puis-je vous posez une question?

-              Allez-y.

-              Quelle est la chanson que vous chantiez tantot?

-              Vous allez peut-etre rire, mais j’en en ai aucune idee… C’est comme si je la connaissait depuis toujours… Peut-etre decouvrirais-je un jour son secret…

-              Pouvez-vous la chanter encore une fois? Peut-etre je la connai et je pourais vous dire de qui est t-elle?

 

-              “Des images me reviennent

Comme le souvenir tendre

Une ancienne ritournelle

Autrefois en décembre

Je me souviens il me semble

Des jeux qu'on inventait ensemble

Je retrouve dans un sourire

La flamme de mes souvenirs

 

Doucement, un écho

Comme une braise sous la cendre

Un murmure à mi-mots

Que mon coeur veut comprendre

 

Je me souviens il me semble

Des jeux qu'on inventait ensemble

Je retrouve dans un sourire

La flamme de mes souvenirs

 

De trés loin, un écho

Comme une braise sous la cendre

Un murmure à mi-mots

Que mon coeur veut comprendre

Une ancienne ritournelle

Loin du froid de décembre”

 

-              Elle me dit quelque chose…

-              Vous la connaissez? Demanda  Hermione.

-              Je crois… C’est le meme sentiment que vous… J’ai l’impression de la connaitre sans l’avoir entendu…

 

Un silence s’installa… Un silence que personne ne veut briser… Un silence ou la flemme des souvenirs est la…

 

-              Je fairai mieux de rentrer, sinon mais amis risque de s’inquieter… Dit Hermione.

-              Nous reverons-nous? Demanda Leon.

-              J’espere…

-              A bientot, Hermione. Dit Leon en lui faisant un baise-main.

-              Au revoir Leon. Repondit Hermione avant de transplaner pour le Terrier, laissant un chat noir derriere elle perdu dans ses souvenirs…

 

 

 

 

 

Chapitre 4

Quand Hermione rentra dans Le Terrier ce soir-la, elle eu droit aux foudres de la jeune Weasley.

 

-              HERMIONE!!!! OU ETES-TU PASSER?! TU DEVAIS RENTRER IL Y A DEUX HEURS!!! NON MAIS CA VA PAS DE ME FAIRE UNE PEUR PAREIL?!

-              Desoler, mais la tante des enfants ma inviter a prendre le the et je n’ai pas vu l’heure… Repondis calmement Hermione.

-              Tu es sure que ca va, Mione? Demanda Harry, qui avait remarquer le trouble de la jeune fille.

-              Oui, oui. Ne t’inquiete pas je suis juste fatigue… Je vais me coucher, Bonne nuit. Dit Hermione avant de s’eclipser aussi vite fiat qu’elle le put…

-              Elle cache quelque chose… Dit Ron.

-              Et on va le decouvrir!!! S’excamerent les jumeaux Weasley.

-              Pour l’instant tout le monde au lit! Dit Molly.

 

Le lendemain, tout le monde se reveille tard, meme Hermione qui en general etait la premiere levee. Elle se reveille a 11h20, et resta encore un peu au chaud en pensant a hier et au jeune Leon Newer…

Elle descendit encore en pyjama, pour prendre son petit dejeuner et Remarque qu’il n’y avait que Ginny.

 

-              Bonjour, Bien dormi? Lui demanda Ginny.

-              Oui et toi?

-              Bien, je crois qu’il faudrai leurs dire pour ce qui c’est passer a l’allee des embrumes…

-              Je crois aussi, mais j’ai peur de la reaction D’Harry et de Ronald… tu les cona…

 

Elle n’eu pas le temps de finir sa phrase que les jumeaux et Harry et Ron arriverent en froncant les sourcils… Ils avaient tout entendu…

-              Qu’est-ce qui c’est passer??? Demanda George.

-              Heu… Vous voulez un peu de gateau??? Tenta Ginny.

-              Non merci, p’tite soeur! Maintenant repondez a la question, qu’est-ce qui c’est passer?

-              On s’est fait attaquer par des mangemorts! Repondit Hermione de but en Blanc.

 

Un ange, deux anges, trois anges… Une vingtene d’anges passerent…

 

-              QUOI???!!! Crierent les quatres garcons sous le regard exasperer des filles.

-              Vous avez bien entendu, et ils ont laisser deux enfants orphelins!!! La guerre commence reelement! Repondit enervee Hermione.

 

 

 

Un silence pesant s’installa pendant plusieur minutes, et Hermione commenait a perdre patience decida d’aller se promener… Elle le fit savoir a Ginny et celle-ci aquieca tout en lui disant qu’elle devrait s’habiller.

 

Une fois prete Hermione transplana directement a l’endroit ou elle adorait aller…

Il faisait somber et des nuages noirs etait etaller devant elle, ce qui ne la rassura pas en se rappellant l’episode dans l’allee des embrumes… Elle s’avanca donc dans la foret ou reignait un silence a faire peur… Elle verifia qu’elle avait sa baguette et continua son chemain.. Plus elle avancait plus il faisait somber, la jeune Griffondor n’etait pas tres rassurer…

Elle commancait a regretter d’etre venu… Aucun bruit mise a pars ses pas, aucune vie ici appart elle… Mais Hermione avait le sentiment qu’elle n’etait pas seule et cela l’inquietait… Sa raison lui disait de partir… Mais pour une fois elle ne voulait pas l’ecouter, et elle continua d’avancer sur ses gardes… Elle etait etrangement calme et elle ne savait meme pas pourquoi…

 

Soudain, un bruit a sa gauche lui fit tourner la tete et s’arreter net… Elle ne leva pas sa baguette mais scruta les environs… Elle ne vit aucun mouvement et cela eu le don de l’inquieter au lieu de la rassurer… Mai savant qu’elle ne put faire quelque chose une silhouette s’approcha d’elle a pas rapide et elle se retrouva en une seconde a terre priver de sa baguette…

Elle commencait vraiment a paniquer mais elle ne le montra pas…

 

-              Qui etes-vous? Demanda t-elle “ J’ai l’impression de le dire tout les jours..” pensa t-elle.

-              Ca ne vous regarde pas mais vous le saurez peut etre un jour… Alors c’est vous… Vous lui ressemblez beaucoup, mais vous etes plus en danger qu’elle… Les Tenebres en ont après vous… Si Il vous trouve tout sera fini… Bonne chance miss… Repondit l’inconnu avant de disparaitre…

Hermione se demandait ce qui venait de ce passer…” J’ai rien compris… J’ai peut etre revee… Ginny a raison, je dors pas assez… Mais quand meme… Que voulait il dire…?”

 

Elle rentra perdu dans ses pensees, tout en se disant qu’a Poudlard se serait surement un peu plus calme… Enfin, elle l’esperait... La guerre commencait et ces temps-ci elle n’avait pas etee prudente, et si elle se fiait a l’inconnu alors elle etait en danger… Elle devait faire attention, car elle ne sait comment mais elle croyait l’homme… C’etait peut etre lui qui leur avait envoyer la lettre, cela correspondrai… Mais si elle etait la “perdue”, comment cela se faisait il qu’elle n’etait pas perdue? Ou est-ce plutot des sentiments? Surement…

Hermione se coucha sur ces pensees en songeant que demain se serait la rentrer a Poudlard…

 

Quand Hermione se reveille le lendemain, c’etait la panique totale…

C’etait la rentrer et Hermione allait entamer son role de prefete avec Ron, aux grands malheurs de Fred et George…

Elle descendit a la cuisine, habiller et mangea rapidement… Elle rejoingnit ensuite le salon ou s’etait la panique totale…

 

 

 

-              Tu n’aurai pas vu mon sac?

-              Ta pas vu mon pull? Et ma brosse?

-              Quelqu’un a vu Coq?

-              ……..

 

Voila la plupars des questions qui etait posees sous le regard amuse d’Hermione qui le fut moin quand elle vit l’heure… Elle remonta vite, fit sa valise. Puis essaya de se peigner.. Se fut mission impossible…

Trente minute plus tard ils etaient tous dans le salon, valises en mains.

-              Bien! Ginny, Ron et Harry vous venez avec moi! Hermione, Fred et George vous allez avec Tonks! Compris? Demanda Arthur.

-              Oui!!! Repondit l’assemblez.

-              Bien! Nous nous retrouvons sur le quais de la gare!

 

Sur ces mots, tout le monde partis… Quelque temps plus tard tout le monde etait devant le Poudlard expresse, au milieu de la foule dense.

Hermione monta directement avec Harry pendant que les Weasley saluaient leur pere…

Ils trouverent un compartiment libre et s’y installerent… Un silence pesant etait present entre les deux Rouge et Or…

Ce fut Harry qui le brisa…

 

-              Hermione, je sais que tu nous as mentis le jour ou tu es rentrer tres tard…

-              Je ne peux rien te cacher…  Repondit Hermione  en souriant, decidant de jouer carte blanche.

-              Exactement! Alors maintenant dis-moi ou etais-tu aller?

-              Dans un endroit que ma mere m’avait montrer quand j’etait petite… Dit elle sans donner de detailles…

-              On s’etait inquier pour toi…

-              Je sais et j’en suis desoler… Mais j’ai besoin d’etre seule de temps en temps et cette endroit m’apaise…

-              Je comprend… Tu devrais y aller, sinon Mc.Gonagal va te tuer d’etre en retard a la reunion des prefets..

-              Ok. A tout a l’heure!!! Repondit Hermione en partant…

 

Sur le chemain, elle croisa plusieurs eleves mais n’y fit attention que quand elle vit qu’il y avait de plus en plus de Vert et Argent..“ Flute… Il faut que je passe par le compartiment des Serpentard… Est-ce que je vais me faire mordre? J’espere pas… Ma bonne etoile, veille sur moi s’il te plait!!!”

Retrouvent son courage a deux mains, elle entra dans l’antre des Serpents ou certains la regarderent avec mepris… N’aimant en aucun cas l’ambiance Hermione traversa rapidement le compartiment mais elle fut stopper dans sa course par un groupe de Serpentards a laquelle etait en tete Theodore Nott.

 

-              Tien, tien… Mais ce ne serait pas Granger par hazard???

-              Bravo Nott! Tu sais te servire de tes yeux! Ca c’est un scoupe! Maintenant laisse moi passer! Repondit elle en essayant de passer… En vain.

-              Pas si vite! Que fais-tu dans le territoire ennemi??? Dit-il de sa voix mielleuse semblable a Rogue.

 

-              Premierement, j’avais remarquer que j’etait dans le territoir ennemi et deuxiemement je suis prefete et j’ai une reunion alors maintenant sois un bon petit toutou et laisse moi passer! Dit Hermione essayant de rester calme mais la colere montait peu a peu en elle…

 

-              Et pourquoi te laisserai-je passer? Demanda Theodore en la provocant.

 

-              Tu es sourd? Je viens de le dire! Et tu as interet a me laisser passer si tu ne veux pas recevoir mon poing dans ta figure comme Malfoy il y a deux ans… Menaca t-elle.

 

-              Tu crois vraiment me faire peur??? Je te croyais plus intelligente… Voyons regarde autour de toi… Tu es seule dans le territoir ennemi!!!

 

-              Sans blague? Je n’avais pas remarquer! Repondit elle ironique.

 

-              Granger, je te deconseille de jouer a la maligne avec moi! Dit-il en s’avancant dangereusement vers la lionne.

 

-              Entre le serpent et la lionne, la lionne est plus forte… murmura Hermione mais tout le monde l’entendit…

 

Un silence de mort reignait, tout le monde regardait l’echange entre la lionne et le serpent.

 

-              Je ne crois pas… Le serpent peut etouffer la lionne… L’auriez-vous oubliez miss?

 

-              La lionne est plus courageuse, que le serpent lache! Dit Hermione entre ses dents.

 

-              Le serpent n’est pas lache, il est juste ruser! Auraiez-vous oublier que Le seigneur des Tenebres etait a Serpentard, ma chere?

 

-              Comment l’oublier? Mais lui n’a pas de Coeur, pas une forme humaine alors pouvons-nous vraiment dire qu’il a ete eleve? Appart si tout les Serpentards finissent comme lui?Alors je les plein sincerement… Ce faire battre par un enfant d’un an…

 

-              Je te deconseille de faire la maligne sur des choses que tu ne connais pas, Granger…

 

-              Qui te dis que je ne les connais pas? Savais-tu que Voldemort etait de sang-mele?

 

Sa revelation laissa place a un silence glacial… Hermione et Theodore se fixait dans les yeux, et on voyait la fureur dans les yeux du Serpent… Hermione, elle, se filicitait mentalement de sa replique!

Voyant dans les yeux de Theodore de plus en plus de fureur elle pensa qu’elle ferait mieux d’y aller mais apparament ce n’etait pas l’avis du Vert et Argent qui lui attrapa le poignet en lui serait si fort que Hermione eu presque l’envit de crier mais elle se retaint…

 

-              Lache-moi Nott! Dit elle en serrant les dents.

-              Non! Repondit –il simplement.

-              Nott…

-              Non! Dit-il en la forcant a s’assoir, tout en lui tenant toujours le poignet.

 

Les Serpentards semblait comme Theodore, l’air decider ce qui ne rassura pas la jeune lionne qui se trouvait dans une situation critique…

 

-              Je vais finir par etre en retard!

-              Je m’en fiche completement. Je veux des reponses a mes questions.

-              Va les chercher toi-meme! Dit Hermione sechement, de plus en plus nerveuse.

-              Pourquoi aller voir ailleur si la reponse se trouve devant-moi?  Serai-ce vraiment toi… Apres tout c’est possible et cela correspondrait…

-              Nott arrete! T’es en plein delire! S’exclama Hermione.

-              Non… mais le passer correspond… Est-ce que tu a ete adopter Granger? Demanda brusquement Theodore, ce qui fit ouvrire grands les yeux a Hermione.

-              Non! Pas a ma connaissance! Et puis meme si c’etait le cas ce ne te regarderait pas!

-              Plus que tu ne le crois! La reunion des prefet est terminer alors maintenant retourne avec tes amis avant que je ne change d’avis…

 

Ni une ni deux Hermione sorti de l’antre des Serpent tout en se disant que Theodore etait tomber sur la tete…

 

Mais, sans savoir pourquoi… Elle craignait ce qu’elle pourait apprendre.,.

Qu’avez voulu dire Nott…?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 5

 

 

 

 

 

Hermione rentra dans son compartiment perdue dans ses pensees, en regardant par la fenetre ou le paysage filait a vitesse…

“ Qu’a voulu dire Nott? Je n’ai pas etee adopter.. Du moin, je crois…Il faudra que j’en parle avec papa… Mais cela expliquerait peut etre la melodie… Mais bon sang! Nott n’est vraiment qu’un cretin.. Bon vaut mieux que j’arrete de me creuser la tete! D’ailleur! Ils sont ou les autres???”

En effet, aucune trace de ses amis a la grande surprise d’Hermione qui ne l’avait pas remarquer jusqu’a la… Mais elle etait sure, pourtant, qu’elle se trouvait dans le bon compartiment! Il y en avait pas trois milles!!! Quoi que…

Hermione decida de sortir pour trouver les autres… Le couloir etait desert mais les compartiment plein… Elle chercha pendant une bonne vingtaine de minutes puis decida de faire une petite pause et c’est a ce moment-ci qu’elle entendit au loin une conversation qui se rapprochait et suivant son instinc elle se cacha… Reconnaissant les voix de Blaise et Drago, elle ecouta attentivement…

-              Tu crois que c’est elle? Demanda la voix de Blaise.

-              Je ne sais pas… Ca pourait etre elle comme une autre, par exemple la nouvelle eleve qui va arriver! Repondit la voix de Drago.

-              Je ne sais pas non plus… En meme temps d’ou pourait-elle avoir une si grande force magique? De ses parents moldus? Ca m’etonnerait! Je pense que Nott a raison.

-              A bien y reflechir moi aussi!

-              Mais tu m’avais pas dis que la nouvelle habitait a Londre avant? Elle etait dans qu’elle ecole?

-              Elle suivait des cours a domicil car a cause de je n’sais quoi elle ne pouvait pas aller a Poudlard… Je crois aussi que sa meilleure amie n’etait pas une sorciere du moins a sa connaissance…

-              Ouais… pour le probleme de Granger autant attendre qu’elle sache vraiment si elle a etee adopter ou non et pour la nouvelle… Comment s’appelle t-elle deja?

-              Eleonore, Eleonore Gybla…

-              Oui! Bah on verra plus tard!

 

Et sur ces mots ils s’en allerent laissant Hermione completment choquer…

Elle etait une sorciere, une sorciere comme elle!!! Hermione esperait que sa meilleure amie allait aller a Griffondor…

 

Prise soudain d’une envie de voir si elle etait dans le train elle se mit a sa recherche…

Mais elle dutavouer qu’elle n’etait pas la… Appart si elle etait dans le compartiment des Serpentards… Hermione n’avait pas voulu s’approcher qu’elle designai de lieu dangereux…

 

 

Prenant son courage a deux mains, elle avanca en direction de l’antre des Serpents avec le Coeur qui battait la chamade…

 

 

 

Aucun bruit ne filtrait par la porte laissant supposer qu’il n’y avait personne mais Hermione avait la sentiment que si…

Au lieu d’entrer elle decida de regarder par le cote de la porte qui etait vitrer…

Elle vit les Serpents soit entrain de discuter, soit entrain de dormir ou encore de lire…

Elle observait tout le petit monde et ne vit pas l’ombre qui avancait dangereusement vers elle et qui la poussa a l’interieur de la piece lui arrachant un cri de surprise s’attirant l’attention de l’assemblez.

“ j’attire l’attention comme un ement… c’est troublant… mais la je pense que je vais vraiment me faire mordre! Pitier faite que Eleonore soit ici!!!”

 

La personne qui l’avait fait tomber la forca a se relever tout en la maintenant fermement…

-              Encore toi! Pesta la voix de Theodore qui s’approcha.

-              Rebonjour a toi aussi! Repondis Hermione ironique.

-              Je te conseille pas de faire la maligne…

-              Tu l’a deja dis! Tu te repette  mon pauvre! Mais situ veux tout savoir je cherchais mais amis qui apparament se sont volatiliser!

-              Et tu croyait qu’ils etaient ici? Arretez de mentir chere Griffondor…

-              Je ne mens qu’a moitier car je cherchais une autre personne, une jeune fille de notre age qui est nouvelle…

-              Qui est-ce?

-              Eleonore Gybla…

-              Tu la connais?

-              C’est une de mes meilleures amies!

-              Ma cousine a de drole de gouts!

-              Pardon?! Ta cousine?! Qu’est-ce que tu veux dire???

-              Qu’elle est ma cousine.

-              Je suis amie avec la cousine de Nott! Le cauchemard!!! Au moins, elle est mieux elevee que toi!

-              Je t’nterdis de..

-              De quoi? Ok,je suis en mauvaise posture. Ok, je suis seules. Ok, je suis dans de sales draps… Mais je garde mon courage Griffondoriens car tu ne me fais pas peur! Tu n’est qu’un lache! Cria presque Hermione.

 

Un silence total suivit le discours de la lionne qui se demandait elle-meme ce qui lui avait pris… Un silence pesant regnait et les serpents semblaient completement eberluer…  Hermione reflechit a tout a l’ure… Le Serpentard qui la tenait ne la tenait presuqe pas… Tous etaient perdus dans leur pensees et la porte n’etait pas loin… Si elle se depechait elle pourait essayer mais il y avait tres peu de chance pour que cela marche…

Elle se dit qu’elle n’avait rien a perdre et commenca  doucement  a reculer en direction de la porte… Elle n’etait qu’a quelques pas de la porte quand soudain plusieurs choses se passerent au meme moment…

La porte souvrie laissant place a un jeune roux et une jeune rousse qui deboulerent et tomberent sur Hermione qui entraina cinq Serpentards avec elle dont Theodore qui semblait avoir retrouver ses esprits et qui pointa sa baguette sur Hermione en lui lancant le sortilege du silence avant de expulser les deux rouquins et de fermer la porte du compartiment…

Hermione se retrouvait donc a terre, sans baguette car Theodore le lui avait prise, sous les regards assassins des Serpentards… Elle ne pouvait plus parler et fusillait le serpent des yeux avant de se calmer instentannement en le voyant s’appocher dangereusement d’elle.. Elle commenca a reculer mais fut bientot coincer par le mur…

Theodore se baissa pour etre a la meme hauteur que la lionne…

 

-              Ecoute moi bien, miss… Car je ne le redirai pas deux fois… La vengeance d’un Serpentard peut etre cruel alors je te conseille de te calmer… Tu va demander a ton pere si tu a ete adopter ou non… C’est clair? Bien… Sache que si tu es celle que nous pensons, tu a interet a etre gentile sinon… Il ne fini pas sa phrase et lui pris le monton entre les doigts puis la gifla… C’etait un avertissement, elle le savait…

 

Mais pourquoi tout le monde croyais qu’elle avait etee adopter???

Theodore lui dit de rester jusqu’a le fin du voyage… Ne pouvant parler et trop fatiguer elle ne protesta pas…

 

Elle se laissa transporter dans le pays des reves qui fut plutot sombre pour elle…

 

“ Elle courait dans une foret sombre… Elle avait un arc avec elle… Des gens malfaisant la suivaient et elle fuyait… Elle ne savait que penser… Elle etait en robe bleu qui etait dechirer par endroit a сause de cette poursuite… Elle n’avait pas eu le temps de prendre son cheval quand ils etait arriver… Elle se retrouver donc a courire dans de ce bois qui lui faisait peur depuis enfant… Elle arriva dans une clairiere et vit un loup la regarder… Sans savoir pourquoi elle le suivit… Elle se sentait en confiance avec l’animal comme si il faisait partit d’elle… Soudain un flash… un autre… puis plus rien… le neant…”

 

Hermione se reveille en sursaut… Elle etait toujours dans le train et les Serpentards ne semblait n’avoir rien remarquer… Elle releva doucement et se posta devant Theodore qui regardait le paysage, et montra sa gorge… Il comprit et sembla reticent mais lui laissa tout de meme parole.

 

-              Je peux y aller maintenant? Demanda t-elle.

-              Non.

-              Et pourquoi?

-              Parce que.

-              Parce que quoi?

-              Tu m’agace…

-              Alors laissa-moi partir!

-              Non!

-              Faudrait savoir se que tu veux!

-              Je saisse que je veux! Tu reste mais tu tais!

-              Je peux au moin savoir pouquoi, non?

-              … non…

 

Hermione n’ajouta rien et s’assit en face de lui… Une griffondor prisonniere des Serpentards.. Genial!

 

-              Eleonore n’est pas la? Demanda Hermione.

-              Non, elle doit arriver directement a l’ecole.

-              Je ne comprend rien a se qui se passe… C’est la monde a l’envers…

 

Le reste du trajet se fit dans un silence des plus complet, et Hermione couru presque jusqu’a la sortit et se rua en dehors du train…

 

Elle etait revenue a Poudlard pour une annee sauf de tout repos… Elle n’aurait jamais su a quel point elle avait raison quand elle franchit les portes du  chateaux…

 

Une nouvelle annee commencais…

 

Chapitre 6

               

 

 

Ailleurs, dans un chateau ou regnait l’ambiance chaleureuse, deux personnes discutaient…

La discution avait l’air d’etre des plus serieuse et elle l’etait… Un viel homme et une femme plus jeune que lui semblait soucieux…

-              Vous croyez vraiment que c’est une bonne idee? Ils sont tous en danger ici, Voldemort est revenue et je suis sur qu’il a des fideles ici!

-              Je le sais bien, mais si nous les laissont en dehors de l’ecole Il les trouvera plus facilement… Tout se que nous pouvons faire c’est de les proteger ici, et d’attendre le court des evenement… Et sachez, que il n’y a pas meilleur moyen d’empecher nos ennemis que de les avoir sous nos yeux… Bien il se fait tard nous devrions les rejoindre…

Le trio de Griffondor, entra dans la Grande Salle sous l’oeil noir de quelques Serpentard.

Ils s’assirent a leur place habituelle en compagnie de Ginny, Neville, Fred et George, Dean et enfin Seamus… Hermione était nerveuse, elle esperait tellement que Eleonore serait avec elle…

-              Bienvenu, eleves de Poudlard! Voici une nouvelle annee qui commence et je suis heureux de la passer avec vous tous! Cette annee, nous acceillons de nouveau proffesseurs… Pour les defense contre les forces du mal, Mr. Wenyt s’en charger. Pour l’Aritmensie, etant donner que Mr. Vector a demissioner nous allons acceuillir Mme. Fedra!

Je voudrai aussi vous dire, meme si je sais que cela n’est point joyeux, que vous etes tous en danger… Vous savez tous que Lord Voldemort est revenue… La plupart de vous dans cette salle ne le croit pas, je l’accepte mais expliquer moi alors pourquoi j’inventerai tous cela? Voldemort est deja passer a l’action et la guerre sera la, a un moment ou un autre des choix seront a faire… Entre le Bien et le Mal… Il faudra vous battre a un moment ou a un autre, mais ne les laisser jamais vous prendre votre Bonheur car si l’ont l’observe bien… Leurs meilleurs armes, c’est vous…

Maintenant acceuillons les premieres annee…

 

Il avait changer de ton en une seconde a peine et cela avait troubler l’assembler, tous les eleves avaeitn un air grave… Soudain les portes souvrirent laissant place a Minerva McGonagall suivit par de jeunes enfants qui etait emerveiller devant le plafond de la salle… Ils avaient l’air si insouciant… Cela peina quelque Coeur, qui commencait a comprendre l’empleur de cette guerre…

Hermione regardait tous les nouveaux eleve en esperant voir Eleonore sous le regard inquiet de ses amis et amuser de quelque Serpentard qui savaient tres bien pourquoi elle faisait cela et avaient attendula reaction de la lionne…

Soudain, elle la vit… Sa meilleure amie, Eleonore venait d’entrer… Hermione se retaint de poser une exclamation de joie et sourit tout simplement… Elle n’aurait plus rien a lui cacher, c’etait le reve absolu…

 

Il y avait du bruit et si Hermione tentait de l’appeller cela ne marcherait pas…

 

 

Elle attendit donc que ce fut le tour d’Eleonore pour lui parler plus tard…

 

-              Gybla, Eleonore! S’exclama McGonagall.

 

La dite Gybla, s’approcha du choixpeau sur d’elle, elle savait ou elle devait aller!

Le choixpeau resta longtemps sur sa tete puis se decida enfin…

 

-              SERPENTARD!!!

 

Il y eu quelque applaudissement polie pendant qu’elle decendait et elle s’assit rapidement a la table des Serpentard pres de son cher cousin qui essayait de dissimuler un rire, en vain, en regardant une certaine lionne qui avait l’air choquer!

Eleonore le regarda surprise mais commenca a manger en silence tout en se disant que son cousin etait vraiment bizzard…

 

Hermione, de son cote, mangeait également en silence… Elle etait choquer, c’etait le mot! Sa meilleure amie depuis enfin etait aller a Serpentard!!! Elle avait vu Theodore presque les larme de rire, et cela n’avait pas arranger son humeur…

 

Demain, ils n’auraient pas cours… Elle en profiteraient pour aller voir Eleonore et sachant que la nouvelle serpentard etait matinal, cela l’arrangea…

 

-              J’espere que le diner vous a plus, maintenant je demanderai au Prefets de ramener les premieres annee a leur salle commune, je voudrai egalement signaler que les quatres prefets de cette annee auront pour la premiere fois un appartement pour eux quatres…

J’appelle donc miss. Lovegood pour serdaigle, mr. Mcmillan pour poufsouffle, mr. Malfoy pour serpentard et miss. Granger pour griffondor! Voila, bonne nuit a tous…

 

Hermione elle etait un peu triste d’etre separer de ses amis et pas tres rassurer de devoir partager ses appartement avec Malfoy…

 

Eleonore, elle, se demandait si elle n’avait pas halluciner puis jetant un regard en coin au Griffondor, elle la vit…

Profitant que tout le monde se levait elle se faufila vers la table des lions et s’approcha d’Hermione…

 

-              Excuser-moi, vous etes Hermoine Granger? Demanda t-elle de sa voix douce…

 

Hermione reconnaissant sa voix entre mille se retourna doucement et fit face a un grand sourire et yeux petillant d’Eleonore…

Ni une ni deux, elles se sauterent dans les bras sous l’oeil exasperer de Theodore, Drago, Blaise et d’autre serpentard qui avaient attend Eleonore… Ginny aussi etait la et elle souriait… Ron et Harry n’etait pas la et heureusement sinon il les aurait tous ,sans exeption, tuer…

 

-              Tu ma tellement manquer, Mia!!!

-              Toi aussi, je suis heureuse que tu sois a Poudlard!!!

-              Dommage que l’ont n’est pas dans la meme maison!

-              Oui dommage! Pourquoi tu n’etais pas a Poudlard avant?

-              Ca ne te regarde pas Granger, je te l’ai deja dis! S’exclama avant sa cousine, Theodore.

-              D’ailleur en parlant de ca, tu pourait etre poli envers tes inviter Nott, Ronald et moi venions juste pour voir si Hermione etait la pas pour vous attaquer! S’exclama a son tour Ginny.

 

Et cela continua comme cela, tout le trajet jusqu’a la salle commune des prefets ou se depecherent d’entrer Drago et Hermione afin de souffler… Ils se regarderent et exploserent de rire… La dispute avait etee n’importe quoi et de plus c’etait seulement Ginny et Theodore qui avaient parler! Personne d’autre!

 

Puis retrouvant leur calme legendaire, ils regarderent le decors de la salle… Il y avait un grand canapé, quatres fauteuils, deux bureaux, une cheminer, six portes…

Sur chacune des portes, etait placer l’embleme de la maison et sur les deux autre l’embleme de Poudlard…

 

Hermione rentra dans sa chambre et la regarda… Il y avait une grande armoir ou etait deja ranger ses affaires, un bureau avec des parchemaint vierge et une plume, Un lit au couleur Bordeaux, la tapisserit etait jaune-beige…

 

Apres avoir admirer tout cela, elle se coucha en pensant a sa journer et se dit qu’elle avait etee tout sauf calme!

 

Et elle tomba dans les bras de Morphee…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 7

 

Le lendemain, Hermione se reveille doucement par les faibles rayons du soleil…Elle resta a nouveau allongee quelque temps en pensant….

C’etait la guerre et a un moment ou un autre, il faudra se battre comme l’avait dit Dumbledore…Hermione soupira, ce n’etait qu’un autre probleme qui s’ajoutait a la grande liste…

 

Elle fut sorti de ses penser noir par un petit hiboux a sa fenetre… Elle alla lui ouvrir mais au lieu de reclamer a manger ou de l’argent après avoir deposer delicatement la lettre, il partit simplement…

Hermione ouvrit le collis ou figurait une photo et un simple petit mot l’acccompagnant…

 

 “ Une derniere sera perdue et elle devra trouver sa destine…”

 

Hermione etait plus que perplexe, que ce message voulait-il dire?

Elle decida de poser les document sur son bureau, et descendit manger dans la grande salle qui etait completement vide…” Bon.. Les autres font la grace matiner… Je vais devoir manger seule… Comme d’habitude… En plus le ciel est deprimant…”

 

En effet, le ciel etait tres sombre et couvert…

 

 

 

Hermione mangea rapidement et decida de faire une ballade dans le parc…

Il faisait froid et sombre, il n’y avait personne ni dans le vaste parc ni dans la cabane d’Hagrid… Hermione alla s’assoir contre un arbre un peu eloigner et isoler… Meme les Serpentards qui contrairement a leurs habitudes n’etaient pas encore reveilles… Elle avait envie de voir Eleonore, et qu’elles se racontent leurs vie sans secrets… Elle voulait comprendre…

Hermione ressera encore les pans de son manteaux a cause du froid… Aucune clartee n’etait a l’horison, que un ciel noir pres a exploser sa colere… Elle regarda autour d’elle, et son regard accrocha la foret interdite… Il y avait quelque chose d’etrange, elle en etait sure… Une chose anormal se passait… Hermione se leva doucement et s’approcha lentement… Sa raison lui disait de fuire et rentrer au chateau… Mais elle desobeit une nouvelle fois… Prenant son courage a deux mains elle s’elanca dans la foret noir…

Il suffisait de deux mots pour la decrier: sombre et glacial. Oui la foret l’etait…. Hermione marchait prudement et aux a guets, elle se souvenait de cet ete et etait deux fois plus prudente…

Elle precut un mouvement et se figea… Pas un bruit regnait, pas de chant d’oiseau… rien… Hermione scruta les environs mais duavouer qu’il n’y avait rien mais pourtant elle avait un sentiment de malaise en elle… Elle reprit sa marche mais un autre mouvement atira son attention… Elle avait le Coeur qui semblait vouloir sortir de sa poitrine… Soudain un loup se montra devant elle, il etait noir profound… Celui qui ne vous rassure aucunement mais pourtant elle ne laissa rien paraitre… Le loup la regardait et elle le regardait…

Il etait envoutant, nous ne pouvions point d’ettacher nos yeux de lui comme si ils etaient… malefiques… Mais Hermione sue lui resister et elle ne perdit pas son sang-froid…

Le loup ayant surement compris que la parti etait perdu s’eloigna mais elle avait gagner seulement une bataille…. Pas la suite…

Hermione resta encore sur place puis se remit a marcher mais cette fois en direction de la sortie de la foret… Elle avait l’impression que le ciel etait plus sombre qu’avant… Et elle ressentait toujours cet sorte de malaise… Il avait commencer des qu’elle avait vu le loup…

 

Hermione se demandait ce qui lui prenait ces dernier temps… Peut etre le stress ou quelque chose d’autre, plus profound que elle meme ne sait quoi…

Elle decida de se rendre a la bibliotheque pour faire des recherches sur la jeune femme de la photo qu’elle avait recu ce matin… Presque personne n’etait mis a par quelque Serpentard et Serdaigles, ces derniers lui firent quelque sourirs mais retournerent bien vite a leurs occupation…

Elle alla s’assoir a une table isolee, y deposa ses affaires, pris la photo de la femme dans sa poche et alla dans les couloirs sombre et pousserieu de la bibliotheque…

Elle chercha pendant une bonne heure avant de ressortir et de s’installer a sa table avec un enorme livre ou etait inscrit par annee le nom, la maison et la photo de la personne…

Une puis deux heures passerent et Hermione arriva au R… Il n’y avait pas cette femme a Serpentard, ni a Poufsoufle ni a Griffondor… Il ne restai de Serdaigle et ell emit bien une bonne demi-heure avant de la trouver…

Elle s’appelle Susan Rosela Rewen, etait nee en 1860 le 16 avril mais sa date de mort ne figurait pas mais elle devait avoir a ce jour 35 ans… Sa photo n’etait pas en image mais etait belle, Susan respirait la bonne humeur, son sourire etait bienveillant comme celui d’une mere pour son enfant…

 

   “ Notre amie, qui nous est restee fidele, a elle pour se destinee, mais une autre sera la… Bonne chance a notre nouvel espoir… A jamais… “

 

Les images etaient des photos de l’epoque, la premiere devait etre dans le parc, la deuxieme devait etre l’embleme de sa famille le “Lys”, et la derniere devaitetre avant le Poudlard express.

Une autre sensation se fit sentir par Hermione, une sensation de froid et de chaleur… Le soulagement et la peur…

Elle commencai a ne pas se sentir bien… Plus elle regardai ces images plus son malaise grandissait… Elle suffoquait… 

               

Puis se fut le neant…

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 8

“Une rose etait dans sa main… Une rose gelee… Elle etait face a un chateau ou manoir, et tenait une rose emprisonnee dans la glace… Elle regardait une photo puis la rose et enfin le manoir… Il faisait froid… Tres froid… Le lieu etait recouvert par un manteaux de neige… Soudain un bruit se fit entendre… Une lutte… Une cape noir… Une lumiere aveuglante puis… Plus rien… Le silence… Tout les ennemis la regardait avec des yeux surpris… Puis ils finirent par disparaitre… Et elle se retrouva a nouveau seule… “

Un silence regnait dans l’infieremerie… Eleonore et Ginny etait au chevet d’une certaine lionne endormie qui semblait paisible… Blaise et Drago qui se trouvaient a la bibliotheque lors de l’accident etait venu prevenir Eleonore, en chemain ils avaient croises Ginny qui avait insister pour venir avec eux…

Hermione refit surface et du papillioner des yeux un bon moment pour s’habituer a la lumiere… Soudain quelque chose ou plutot quelqu’un se jeta sur elle… Cette personne etait Ginny…

-              Hermione! Tu nous as fait peur! Mais que c’est-il passer, enfin?! Meme la bibliotheque est un endroit dangereux ou quoi?! Non mais attend tu imagine ma surprise quand je te vois evanouie dans les bras d’un Serpentard?! J’ai faillit faire une crise cardiaque!

-              Ginny! Desoler… Je n’ai pas fais expres de m’evanouire mais j’avais besoin de savoir quelque chose et je suis tomber sur un document… Puis je me suis evanouie… J’ai recu une photo ce matin et je voulais savoir qui etait-ce…

 

Hermione lui tendit la dite photo et elle vit le visage bienveillant de Eleonore et Ginny, changer du tout au tout…

 

-              < Susan Rewen… Hermione, il faut que tu sache que d’apres des legendes anciennes qui ont etes approuver plus tard, la famille Rewen était une famille de puissant sorcier, tous de sang-purs, riches… Enfin, tu as compris… Sauf qu’eux, n’etaient pas commun. Ils etaient beaucoups plus etranges que d’autres sorciers…

< Certains disaient que c’était des monstres ou des mythes de l’epoque… Nous apprimment plus tard qu’un des Rewen, Adolphe Rewen, était un vampire sauf qu’il n’avait pas l’immortaliter et était en quelque sorte vegetarien… Cela a fait scandale, tout le monde a cette epoque croyait les legendes stipulant les vampires.  Il a dut se cacher avec sa femme en Alaska, ils ont fini par avoir un enfant mais la mere est deceder… Au cours de sa croissance Adolphe remarqua que l’enfant devellopait des pouvoirs puissant, que le petit Julien était d’une paleur et d’une froideur vampirique, mais il avait en plus de son père un autre pouvoir ; il pouvait faire bouger des objets par thelepatie.

< Etant donner sa vieillesse, Adolphe mourut laissant a seul a dix ans Julien. Il apprit a chasser seul les animaux, mais un jour de chasse il se fit attaquer… Et on entendu plus jamais parler de lui…

< Tout le monde a cru etre tranquille etant donner que le dernier descendant était mort. Mais qu’elle ne fut pas leur surprise quand ils virent s’enchainer au fil des annees, des siecles toute la famille Rewen…

< Puis arriva le tour de Rosela Rewen, la mere de Susan, elle possedait une vitesse fenomenal, une force egalement… Elle pouvait controler l’eau… Un jour, alors qu’elle se promenait dans la campagne francaise pour rejoindre son fiance, elle se fit interpeller par des hommes en capes noirs… Ayant une innocence sans limite, elle se rapprocher de ces hommes, ils etaient trois, elle aurait du se mefier…

< Ils commencerent a lui poser questions sur questions, auquels elle fut incapable de repondre… Puis comprenant visiblement qu’elle ne comptait pas leur repondre, ils passerent au menace puis l’un grimaca soudain et ils s’en allairent l’aissant Rosela seule…

< Elle ne raconta a personne se qui venait de se passer et mit au monde Susan… Elle eleva sa fille dans un amour que personne ne pourait avoir, comme un pressentiment qu’elle se retrouverait priver de sa fille… Susan était cajoler de toute pars…

< Le matin de sa mort, Rosela se promenait dans son immense parc quand soudain sans aucune expliquation, elle vit une lumiere aveuglante et sombra dans les tenebres…

< Susan grandit alors, sans plus jamais sourire. Elle qui d’habitude était enjouer et respirait la joie… Elle était maintenant plus que l’ombre d’elle-meme… A sept ans, on lui avait arracher celle qu’elle aimait le plus au monde…

< Puis un jour, elle rencontra John Liversay… Un anglais a l’humour enjouer, souriant et d’une gentillesse sans limite… Elle fit sa connaissance et retrouva peu a peu sa joie et sa bonne humeur, au fil des annees Susan eut une fille, mais contrairement a ce que l’on pu croire ils semblerent soudain distant et mefiant envers tout les autres… Personne ne comprit…

< Un jour de noel ou leur enfant avait seulement deux ans, se fut la panique la plus total… Personne ne sut ce qu’il s’est reelement passer cette nuit la mais John perit, ainsi que les invites qui etaient rester… Susan Rewen  disparut laissant derriere elle un immense mystere ainsi que petite fille sans sa vrai famille…

< La fille de Rosela Rewen et de John Liversay, est la derniere descendante de cette famille et possede les plus grands pouvoirs jamais connu…

 

Hermione resta stupefaite face a l’histoire decrite par Eleonore… Son cerveau essayait de trouver un lien entre cette photo et elle-meme… Et n’es trouva qu’un seul et unique…

 

Ces derniers temps tout le monde lui demandait si elle avait été adopter, notament les sang-purs ! Elle ressemblait a Susan Rewen et pour une nee-moldu avait de grands pouvoirs…

Hermione regarda tour a tour Ginny et Eleonore, ces dernieres semblaient avoir concluent la meme chose qu’elle car elles la regardaient gravement.

 

-         On raconte aussi qu’une berceuse est apprise naturellement de génération en génération…

Hermione… Je t’es souvent entendue chantonner l’air de cette berceuse…

Mia… As-tu un pendentif dont tu ne te souvienne pas d’ou il vient?

 

 

Hermione pensa imediatement a son rubis et le sorti de dessous sa chemise et le regarda….

 

-              C’est lui…

-              Oui… Et c’est elle…

 

Ne pouvant y croire, Hermione se releva et se mit a courir vers le dortoir des prefets ou était assis Drago, entrain de lire et quelle ne fut pas sa surprise quand il vit une brune courir comme une folle vers la cheminer suivit d’une rousse et d’une blonde complètement ecrouler…

 

-              Maison Granger! Dit Hermione en versant une poudre qui fit allumer les flemmes…

 

Hermione avait de decider d’appeller son père pour avoir des reponses…

 

-              Papa?!

-              Mia? C’est toi? que se passe t-il?

-              Rien de grave ne t’inquiète pas mais est-ce que je peux te poser une question sans que tu me mentes?

-              Tu m’inquiète mais oui tu peux…

-              Bien… Est-ce que j’ai était adopter?

-              ….

-              Papa?

-              ….

-              Papa?!

-              ….

-              Papa?! T’es la? Que se passe t-il?

 

Aucune réponse lui vint, seulement un grondement sourd puis tout se stoppa… Mais de tres loin elle entendit son “pere” lui repondre

 

-              … oui…

 

Puis plus rien…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 9.

 

Hermione était complètement choquée. Sa vie venait tout à coup de changer de direction pour aller vers une nouvelle où tout était étranger…

Elle venait de perdre ses repaires, mais dans ce qu’à là, il ne fallait pas perdre ses moyen elle le savait parfaitement. Alors elle se releva et fut tout d’un coup inquiète pour son père…

Elle se pencha de nouveau vers la cheminée mais son père n’était plus là… Elle se força à ne pas laisser couler les larmes d’inquiétude et de peur qui menaçait et se tourna vers les filles qui la regardaient en silence… Elle jeta un coup d’œil à Malfoy et vit que celui-ci la fixait intensément.

Hermione réfléchissait a tout a l’ure, personne ne devait savoir qu’elle était la dernière descendante de la famille Rewen ! Sinon ce serait la catastrophe, elle savait parfaitement que Voldemort voudrait a tout pris la tuer ou l’avoir dans son camps !

 

-              Hermione… Fit la voix de Ginny.

-              Personne ne doit savoir, sinon elle serait gravement en danger ! S’exclama Eléonore.

-              Pour l’instant j’aimerai savoir si mon père va bien car je ne suis pas sur qu’il est capable de faire le grondement que l’on a entendu !

-              Mais Hermione, il faut prévenir Dumbledore !

-              Comme la dit Eléonore, personne ne doit être au courant !

-              Hermione tu ne comprends pas ! Il faut te protéger même si personne n’est au courant, Tu-Sais-Qui saura un jour ou l’autre que c’est toi ! Nous sommes en guerre, et Il  fera tout pour te récupérer !

 

Durant tout l’échange, Drago  resta silencieux et regarda Hermione au bord de la crise de panique. Dans une situation il se serait sûrement moquer mais pas aujourd’hui, il ne savait pas pourquoi mais d’une certaine façon il comprenait  la jeune Griffondore. Elle voulait protéger son père, il aurait eu la même réaction pour sa mère. Il se rappelait quand il l’avait vu s’évanouir a la bibliothèque, que son cœur avait battu la chamade en la voyant si pale. Il s’était bel et bien inquiéter pour elle, son ennemie…

Il réfléchissait, et la réponse lui paru soudain. Il ne dirait rien.

-              Je ne dirai rien ! Dit-il a l’intention des jeunes filles.

-              Pourquoi ? Demanda Hermione, septique.

-              Tu ne me connais pas Granger, c’est tout ce que j’ai à dire. Dit-il avant de partir dans les couloirs sombres du château.

 

Les filles continuèrent leur discutions et se mirent d’accord sur le fait que la jeune lionne ne serait jamais seule et qu’elles allaient tout de même prévenir Dumbledore.

Hermione soupira. Elle n’aurait jamais une vie calme et maintenant elle avait un nouveau secret…

Face à ses meilleurs amis cela ne serait pas simple à cacher !

 

Oui, une année calme à Poudlard n’existait pas…

 

 

 

Chapitre 10.

 

Le lendemain était prevus pour que tous reprenne les cours, Hermione se reveilla plus tot que tout autre ce matin-la… Ayant fait un mauvais reve, elle se leva quand le soleil venait juste de paraitre a l’horizon.

Il lui restait encore une bonne demi-heure avant que les portes de la grande salle ne s’ouvre, alors elle decida de s’installer pres du feu et de se perdre dans ses pensees…

 

Comment en était-elle arrivee la ? Pourquoi elle ? Hermione n’avait pas les reponses a ses questions et cela l’enrageait…

N’avait-elle pas assez de soucis comme cela ? Apparemment non…

Et pouvait-elle vraiment faire confiance a Malfoy ? Elle en doutait, mais il avait paru si sincere…

Et quel était le bruit qu’elle avait entendue via le reseau de cheminee ? Cela l’inquietait enormement…

Elle avait un mauvais pressentiment...

 

Elle fut sortit de ses pensees par Drago qui sortit de sa chambre, déjà prêt… Hermione fut etonnee et regarda l’heure pour s’apercevoir qu’il ne lui restait que cinq minutes avant de rejoindre ses amis… Drago descendit calmement les escaliers, la regarda et sortit…

Hermione, elle, monta rapidement chercher son sac et descendit plutôt prestemment les escaliers… Elle s’engagea dans les couloirs sombres de l’ecole et arriva en dix minutes a la table des Rouge et Or !

 

- Bonjour, les garcons! S’exclama t-elle.

- B’jour Mione, comment ca va ? Tu as l’air fatiguer… Repondit doucement Harry.

 

Hermione, elle, ne savait que dire pour expliquer aux garcons qu’elle avait étée adopter et qu’elle était une sang-pur de grande lignee…

Non, elle ne s’en sentait pas capable. Du moins, aujourd’hui… Devant tout le monde… Elle decida donc de faire comme si rien n’était… Mais cela est sans compter sur la persipicasiter de notre cher Harry Potter.

 

-         Je vais bien, ne t’inquiete donc pas ! Et vous ? Bien dormis ? Demanda t-elle a son tour refusant toute fois croiser leurs regards.

-         On a bien dormis egalement, mais il faudra que je vous parle pendant notre heure de libre apres… Apres les cours de potions, je crois. Lui repondit le brun.

 

Hermione savait qu’il allait leur reveler quelque chose d’important et sans savoir exactement pourquoi cela la rendait nerveuse… Puis qu’elle que chose lui revint a l’esprit et elle regarda son emploi du temps pour s’apercevoir qu’ils commencaient avec deux heures de potions en compagnie de Rogue et les Serpentards… Genia l. Ils commencaient bien l’annee…

 

Une fois leur petit dejeuner fini, qui d’ailleurs se passa en silence, ils entreprirent de se diriger vers les cachots sombres et froids de Poudlard… Ils marchaient tout trois en silence, chacun perdu dans leurs pensees…

Devant la salle était déjà la les Serpentards et peu de Griffondors… Quand ils arriverent devant les Serpentards, ces derniers les toiserent d’un regard froid et haineux, mais quelques autres regarderent Hermione d’une facon bien etrange…

Depuis qu’elle avait apprit appartenir a la famille declarer «  maudite » , Hermione apprehendait de se retrouvre face aux Serpentards de son annee. 

Elle avait tout fait pour ne jamais se  retrouver face a un Serpentard, sauf Eleonore, bien entendu. Et maintenant qu’elle se trouvait face a tout les Vert et Argent de son anneee, elle devait dire que son cœur manquait parfois des battements mais elle n’en montrait rien.

 

Le reste des Griffondors finirent par arriver et les maisons adverses se toiserent en silence, on aurait pu dire que tous était figes, cela donnerait un angle de la situation tout bonnement exacte. Hermione s’appercu que Theodore Nott, la fixait intensement et elle dirigea donc son regard dans sa direction. Harry et Drago, eux, se fixaient plein de haine ainsi que tout autres, mais rien n’était comparable au combat que se livrait Hermione et Theodore. Certains meme, les regardaient faire completement subjuguer par la tention plus qu’electrique entre les deux eleves… L’un chaud, l’autre froid. L’un rouge, l’autre vert… C’était un spectacle que personne n’avait pu observer dans aucun conflits entre Serpentard et Griffondor… C’était unique.

 

Puis Hermione fini par baisser les yeux, epuiser par ce jeu… Et elle remarqua en regardant sa montre que la terreur des cachots était bien en retard d’une bonne vingtenes de minutes… Chose rare, voir jamais vu… Cela était etrange et Hermione fronca les sourcils…

 

Un silence glacial regnait entre les eleves qui fut « interompu » par des bruits de pas presser, et tout le monde se retourna dans la direction du fameux bruit…

La penombre obligeait aux eleves de plisser intensement les yeux, puis sous la lumiere apparut alors un homme surment dans les vingt-cinq ans, d’apparence jeune, des cheveux couleurs cuivre et des yeux d’un bleu profond… Hermione eu une legere impression sans savoir definir quoi.  Il était etrange que personne ne sache qui il était.

 

Il s’arreta devant la salle et les regarda attentivement pendant que les eleves, eux, restaient silencieux.

 

-         Bien, je crois que cela va etre vous… Bon, le professeur. Rogue ne pourra pas assurer son cour pour des raisons personnels et je vous prierai de ne posez point de questions la-dessus. C’est donc moi, qui vais vous prendre aujourd’hui ainsi que demain. Je vous pris d’entrer dans la salle mais contrairement a votre professeur, je veillerai qu’il y est par paillasse un eleve de chaque maison. Donc, tout le monde se melange…

 

Il avait dit cela d’une voix profonde et froide, dans tout les cas il savait faire regner le silence c’était le cas de le dire. Puis il commenca a designer les eleves des maisons adverses et les placa…

 

-         … Miss. Patil avec Mr. Zabini, Mr. Weasley avec Mr. Malfoy, Mr. Potter avec Miss. Parkinson, Miss.Granger avec Mr. Nott… Et il continua ainsi, et tout le monde fini par prendre place.

 

Hermione se retrouvait avec le dernier Serpentard qu’elle voulait croiser, elle n’avait decidement pas de chance…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 11

 

Elle ne savait pas ce qu’il se passait cette annee mais Hermione n’aimait pas du tout mais vraiment pas du tout ! Le monde était-il contre elle ? Elle commencait a serieusement se le demander.  Qu’avait-elle fait pour se retrouver dans cette situation ?

 

Cela faisait maintenant vingt minutes qu’elle était assise la, avec une seule envie : prendre ses jambes a son coup !

 

-… les potions ne sont pas que filtres d’amour ou autres, cela se sont primordialement de la science. Magique ou moldu, elles servent dans les vies les plus communes. Bien que leurs consecanses sont pour la plus pars de magie blanche, d’autres au contraire sont de magie noir et par cela : mauvaises. Les potions ne sont pas prendre a la legerete, elles peuvent etre extremement dangeureuses, sachez. Cette annee vous passerez vos B.U.S.E, donc je vous deconseille fortement de revasser a ce cour.

 

Tout le monde ecoutaient silencieusement le discour du professeur, tous se posant la meme question : Qui est-ce ?

Car malgre son discour, personne n’avait manques remarquer qu’il n’avait toujours pas dit son nom…

 

-         Aujourd’hui, nous travaillerons seulement sur la theorie. Prenez vos livres page 378, je vous pris.

 

Tout le monde s’executa mais fut troubler par le titre du chapitre : « La liaison entre mortels. »

Surtout Hermione, qui connaissait vageument le sujet… Et en general maitriser par des vampires… Ce n’était pas une potion communenement apprise…  Et ce n’était normalement pas dans le programme…

 

-         Vous allez apprendre les risque de cette dangeureuse potion qui comme vous l’avez surment compris, permet de liez deux mortels ensemble. Ils seront alors impossible de les delier, et ils ne pourront se faire du mal… du moins physiquement. Tres longtemps, cette potion a etee serviable pour les amants, puis elle a etee entreprit sous des aspects malsains. Des amoureux par exemple, qui voulaient leurs dulciners contre leurs gre et les liers a eux… Et a l’epoque de Grindelwanne ou encore du Seigneur des Tenebres, cette potion n’eu fut alors utiliser que pour des armes, de lier des servants a leurs maitres…

Mais ne vous inquiétez pas, nous n’allons pour l’instant pas la pratiquer ! Nous allons simplement parler de théorie ! …

 

*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*

 

-              Vous n’avez pas trouver le prof de tout à l’heur étrange ? demanda Ronald, tout en s’écroulant dans l’herbe devant le regard amusé de ses amis.

-              Si, comme tout le monde. Mais n’empêche, son cour était très intéressant ! Lui répondit Hermione.

-              Mais le sujet était très étrange… Même les serpents ont eu l’air étonner ! Dit Harry.

-              En parlants des serpents… Marmonna Ron, tandis que la troupe de Serpentard, à la tête Drago et Théodore, s’approchèrent et s’assirent non loin d’eux tout en les fixant…

 

Les trois Griffondors s’échangèrent un regard tandis que les vert et argent continuaient de les fixer… surtout Hermione.

La jeune lionne devait avouer qu’elle se sentait légèrement intimider, mais après tout… Qui ne le serait pas ? Elle concentra donc son regard sur son livre moldu… * Le Livre Perdu Des Sortilèges* écrit par Deborah Harkness. Elle devait avouer que bien que cela ne soit pas son genre de lecture, elle adorait ce livre ! ( n.d.a : J’adore également ce livre et le conseille à tout le monde, même aux garçons !)

 

Pendant ce temps, Harry et Ronald fixaient également les Serpentards, qui eux avaient toujours leurs regards braquer sur Hermione, qui se sentait de plus en plus mal à l’aise… Et commençais à suffoquer, une sorte de panique l’envahissant comme dans la bibliothèque… Elle porta une main à son cou.

Ron, voyant que son amie palissait de plus en plus commenca sérieusement à s’inquieter.

 

-              Hermione, tout va bien ? demanda t-il d’une voix douce en murmurant, mais malgré cela Hermione cru s’évanouir tellement elle eu mal au crâne…

-              Ca va… murmura t-elle faiblement.

 

C’était pire que dans la bibliothèque… Surtout que son médaillon la brûlait et la glaçait en même temps…  La douleur s’accentua, tandis que tout bruit s’infiltrait dans sa tête ainsi que des images…

 

*Une maison, de la neige, un cri, un chat, Kelo.., la lune, les étoiles, le ciel menacant, le tonnerre, encore des cris, un éclaire, une ombre, une porte, une grille, une rue enneiger, le calme, le silence,… un médaillon…*

 

Hermione était glacée et tremblait sans s’arrêter voyant défiler ces sons et ces images devant elle…

 

Quand elle revint à elle, elle était toujours aussi glacée mais ne tremblait plus, essayant simplement de retenir ses larmes… Elle savait ce qu’elle avait vu… Une vision… Une vison de ce qui c’était passer avant son adoption ou du moins le soir de celui-ci… Sa panique diminuait et son mal de tête ne se faisait plus ressentir mais le mal était fait…

Car en ayant cette excès de panique en cause des Serpentards, une vision s’était alors imposer en elle… Prouvant ainsi son héritage de Susan Rewen mais également qu’elle était également une Rewen… la dernière descendante c’était dévoiler… Contre son gré et devant les yeux de ses ennemis qui la regardait d’un air satisfait et cruel…

 

Mais un des leur regardait la pauvre adolescente avec une satisfaisance forcé… Malgré qu’au fond de lui, il était réellement désoler pour la jeune fille…

 

Qui se laissait aller au désepoire, n’ayant point le courage d’affronter les serpents qui s’en allaient, ayant eu ce qu’ils voulaient…

 

En observant cette scène néfaste, une petite voix s’éleva de la pénombre et s’exprima dans un langage inconnu où tout connu pouvait le comprendre… * Au commencement étaient l’absence et le désir…*

 

 

 

 

Chapitre 12

 

 

 

Le cour suivant était l’histoire de la magie avec le professeur Binns et une nouvelle fois en commun avec les Serpentards…

Ils n’eurent pas à attendre, la salle était déjà ouverte et le professeur déjà présent.

-              Bonjour à tous, avant de vous installer je vous préviens que cela sera moi qui vais décider en mélangeant vos deux maisons ! Commenca Binns. Donc, Miss. Patil avec Mr. Nott, Mr. Weasley avec Mr. Zabinni, Mr. Potter allez-vous asssoir près de Miss. Parkinson, Miss. Granger près de Mr. Malfoy je vous pris, Mr. Finnigan…

 

Hermione alla s’asseoir docilement sur la chaise près de Drago qui ne la regarda pas mais n’en pensa pas moins… Il voyait bien que les mains de sa camarade tremblaient pendant qu’elle prenait des notes suivant ce que disait Binns, alors que lui-même était perdu dans ses pensées… Il voyait bien malgré qu’elle affichait un air neutre, Hermione était bouleversée…

 

Hermione était en effet perdue dans ses pensées et elle sursauta légèrement quand une petite colombe miniature attérie dans ses mains… De couleur verte… Elle savait qui était-ce sans même l’ouvrir mais elle le fit pourtant… Et elle n’aurait pas due…

*Ma très chère Griffondore, je dois avouer que ton courage m’éblouie mais nous sommes rusés et les Serpentards gagnent toujours… Merci de nous avoir révéler ton secret ! C’était un vrai régale de te voir te débattre… Et en plus nous regardions juste ! Nous n’avons rien fait ! C’est génial autant te le dire tout de suite !  D’ailleurs, je te conseille de jeter un coup d’œil à ton poignet gauche… Te rappelles-tu de la potion ?  A toi de réfléchir, miss je-sais-tout ! A plus tard. T. N*

 

Hermione devint de plus en plus pale au furet a mesure de sa lecture… Elle regarda son poignet retient en cri d’effroi et de désespoir… Là sur son poignet, était dessiner a l’encre d’un vert frôlant le noir, un minuscule serpent enroulant un lion… ou plutôt, une lionne….

Elle garda son regard au moins cinq minute sur la minuscule marque tout en serrant les dents… Tandis cela, la boule de panique se forma une nouvelle fois en elle et s’accentua jusqu a ce qu’elle en ai le souffle coupé…

Ne pouvant plus se concentrer, elle dirigea son regard vers la fenêtre et observa le paysage… Il n’y avait pas de soleil seulement un gris ténébreux, aucun animal n’osaient s’aventurer dans ce paysage frôlant le désespoir…  Hermione frissonna, qu’est-ce qu’elle avait froid… Elle regarda l’horloge et vis avec soulagement qu’il ne leur restait que trois minutes… Elle se mit a compter jusqu'à la fin et fut la première à sortir de la salle… A moitié en courant sous le regard éberluer de ses amis…

 

Pas une larme, Hermione s’ordonnait de ne versait aucune larme… Elle avait fini ses cours et comptait s’enfuir a la bibliothèque mais décida de changer de trajectoire sachant que si on la cherchait, on irait la trouver a la bibliothèques, or elle voulait être seule….

Elle s’entama donc dans l’aile nord du château où généralement personne ne s’y aventurait… Elle flâna ainsi pendant deux heures puis se dirigea vers la tour nord et y grimpa tout en se rendant compte qu’elle était très haute… Elle marcha une dizaine de minutes puis arriva enfin a destination… La vue était magnifique…  Une sublime vue sur le lac et les montagnes… Ce lieu eu le don de l’apaiser immédiatement… Elle respira l’air frais et eu un vrai sourire… doux et charment et surtout réel.

 

 

Chapitre 13

 

Hermione n’en pouvait plus, a peine une semaine qu’elle était a Poudlard et elle était déjà extenuée…. Comment pourrait-elle suivre une annee entiere ?

Pourtant, devant ce paysage magnifique il y eu était impossible de se laisser aller a ses pensees noir… Seulement un silence paisible, c’est tout ce qu’elle desirai et elle l’avait,enfin. Bien que se fut cinq ans qu’elle fut la, la jeune fille ne connaissait point cette endroit… La vue était spendide, nous voyions l’horison sans une once de nuage laissant decouvrir le coucher du soleil dans toute sa splendeur. A perte de vue étaient montagnes, foret , riviere et un lac dans une clairiere de la foret interdite….

 

La jeune Griffondor put enfin laisser quelque larmes couler silencieusement sur ses pales joues, ses cheveux virvoltants au gre du vent… Les yeux fermer, sur cette haute tour du château sous la clarter de la lune naissante, Hermione ressemblait a un ange… Elle affichait un visage des plus serein, des plus pur…

 

Hermione s’assit dos contre une colone et regarda le soleil disparaitre pour laisser place a la lune dominant le noir de la nuit, si sombre et pourtant envoutant…

Elle avait toujours apprecier la nuit, signe de silence et de paix… Egalement la lune qui elle,  telle une flemme dans les tenebres,  laissait un signe d’espoir…

 

La jeune Griffondor porta son regard sur la marque… Comment une si insignifiante petite chose, pourrait lui coser tant de malheurs ?... Question sans reponses…

 

Elle porta sa main a son medaillon qui lui brulait legerement depuis qu’elle était revenu a Poudlard… Signe d’un danger…

Bien sur, il y avait du danger ! Lord Voldemort était de retour et ses partisans devenaient plus actifs de jours en jours !

 

Mais quel était le reel danger pour elle ?... Comme reponse a sa question a ce moment-la, un hurlement dechirant se fit entendre dans tout le château et meme au-dela…

Hermione sursauta et manqua de s’ecrouler a terre… Elle essaya de reprendre un rythme cardiaque normal, en vain…

 

Elle empoigna sa baguette et se mit a courir comme si sa vie en dependait vers la source du cri qui persistait…

Malheureusement pour elle, elle était de l’autre cote du château.  Mais cela ne la decouragea pas et accelera sa vitesse.

Elle rencontra quelque eleves durant sa course, elle en vit deux qui deciderent de la suivre… Quand elle arriva dans la tour des Griffondor, elle fut rejointe par Ginny…

Ils continuerent donc leur course jusqu ‘arriver dans un couloir non alumer et plonger dans la penombre… C’est a ce moment la qu’Hermione ressentit une forte brulure envoyer par son medaillon…

 

Un grand danger l’attendait…

 

Pourtant, envers et contre tous , elle continua a avancer couragesement dans la penombre…

Aucun bruit, un silence glacial regnait dans le corridor.

 

Seule les deux jeunes filles avaient le courage de s’avancer… les mains legerement tremblentes…

 

-         Lumos… Murmura la jeune rouquine.

 

La lumiere se fit dans le couloir, faible certe mais tout de meme suffisante pour decouvrir une unique chose…

 

L’ecuisson de Poufsouffle et trois cheveux roux qui n’etaient pas etranger aux lionnes…

 

Les trois cheveux roux appartenaient a Susan Bones…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 14

 

Ce matin-la, Hermione ne se reveilla pas… Elle n’avait pas put fermer l’œil de la nuit, trop inquiete par se qui s’était passe la veille…

 

Elle se leva d’un pas mal assure et alla vite prendre sa douche, elle s’essaya en passant a coiffer ses cheveux du mieux qu’elle put, en vain…

Elle était la premiere de Griffondor levee et decida de se diriger directement  dans la Grande Salle, n’etant pas d’humeur a attendre les autres…

 

Durant le trajet, elle due serree les pans de sa cape sous l’air glacial du château…

Quand elle arriva enfin devant les portes, elle hesita une fraction de secondes… Si elle tombait sur des Serpentard ?

 

Puis finalement se dit qu’il n’y avait pas tant d’importance… Elle entra donc et s’arreta net.

 

«  Je suis maudite…. ! » se dit-elle

 

En effet, elle se retrouvais face a face avec une bande de Serpentard qui s’apprettaient a sortir… Avec Malfoy en tete…

 

-         Tien, tien mais ne serait-ce pas Granger par hazard ? Demanda une voix derriere elle.

 

Hermione n’en fut pas surprise et garda la tete haute, face a elle se trouvais Drago, Blaise et Parkinson, derriere elle se trouvait Theodore…

 

La seule reaction qu’Hermione eu, fut de soupirer de lassitude…

 

-         Que me voulez-vous encore ? Demanda t-elle en insistant bien sur le dernier mot.

-         Mais rien, mais rien ! Juste une salutation de courtoisie ! Repondit une voix inconnu juste contre son oreille.

-         Les Griffondors ne savent pas ce qu’est la courtoisie ! Inutil de perdre ton temps Nathan. Repondit Drago, toujours accompagner de son sourir en coin qui exasperait plus que tout la lionne.

-         Toi non plus Malfoy ! Mais bon, je prefere ne pas etre courtoise avec mes ennemis que d’avoir une tete de fouine ! Repliqua d’un acerbe la jeune fille.

-         Pardon ? Repetes un peu ?

-         Excuses non-acceptees ! Et je n’aime pas me repeter ! Repondit –elle.

-         Ne te fiches pas de moi, tu ne sais pas a qui tu as affaire 

-         A Drago Malfoy, fils de mangemorts, Serpentard de premier nom et appeler plus connument  « La Fouine » ! Repliqua la lionne avec hargne, tout en gardant son calme.

 

Drago serra les poings, non mais pour qui se prennait cette fille ?! Personne n’avait le droit de lui parler ainsi ! Elle aller regretter ! Il fit un clein d’œil discret a Nathan qui se placa mieux derriere l’insouciante jeune fille.

 

-         Et encore ? Demanda le blond.

-         J’en connais assez sur toi ! Cela me suffit largement ! Juste le fait que tu es un fils de mangemort me répugne ! Donc pas besoin d’en rajouter !

-         Et d’apres toi, que font les mangemorts aux personnes comme toi ? Demanda  t-il d’une voix mielleuse.

 

Hermione ne repondit pas, elle savait tres bien ou en voulait en venir le serpentard : la mort.  Il avait retourner ses attaques contre elle. Et il reussirait, elle le savait…

 

-         Tu ne sais pas ? Eh bien, je vais me faire un plaisir de t’expliquer au fur et a mesure… Dit-il en faisant un signe de tete qu’Hermione comprit seulement quand sentit de bras la maintenir fermement tandis qu’elle voyait sa propre baguette atterrire dans la main de Theodore, maintenant face a elle et la regardant de toute sa hauteur…

Elle en deduit donc que se fut certainement le jeune Nathan qui la maintenait…

 

-         Il y a tout d’abord la souffrance mentale puis physique… Soit les paroles et la torture. Expliqua Theodore avec un sourir cruel tandis qu’elle essayait de s’echapper de l’emprise de Nathan, en vain…

 

Elle était trop faible… Elle le savait… Mais c’était comme cela, rien ne pourrait y changer… Sentant sa proie essayer de s’echapper Nathan ressera sa prise… Avec un sourir malveillant, il lui serra fortement les poignets tandis que ses camarades lui rappellaient sont statue et ce que leur infligeait  le Seigneur des Tenebres…

Il sentait la jeune fille trembler legerement et cela l’amusa grandement… Soudain, il sentit une forte douleur a son tibia… La petite peste lui avait un fort coup de pied, il faut dire qu’elle avait un petit talon et dur… !

 

-         Sale peste ! Grogna Nathan, tandis qu’Hermione se retournais et lui donna une gifle magistral .  Mais avant meme qu’elle ai pu dire «  Quidditch » ses poignets etaient emprisonner dans les longs doigts fin du jeune homme…

-         Tu va regretter, petite. Dit-il avec hargne avant de partir suivis des autres, en direction de leur prochain cour… qui serait en commun avec elle.

 

Elle recupera rapidement sa baguette et partit egalement faire un tour avant son prochain  cour, n’ayant plus d’appetit ….

 

La journee risquait d’etre longue, tres longue…

 

Chapitre 15.

Albus Dumbledor était un grand sorcier, tout le monde le savait.  On le decrivait comme un homme bon, gentil et representant le Bien.

«  Dumbledor est un grand homme, un grand homme ! » disait tout le monde.

 

Or Dumbledor sous son air des plus gentil et confiant se cachait un homme briser…  Il était devenu directeur de Poudlard pour oublier…

 

Aujourd’hui, Albus Perceval Woolfrick Brian Dumbledor ne savait plus ou il en était, il regarda par la fenetre l’immense paysage qui était face a lui et il se sentit vieux…

Il ne savait pas quoi faire, il ne savait plus… Comment une si petite boule qu’il tenait dans la main, comment cette si petite prophetie pouvait le chambouler ainsi, le depasser ?

 

Ce que disait cette chose ne pouvait etre possible, il avait perdu espoir dpuis longtemps !... Comment, pourquoi ?

 

Dumbledor n’avait pour la premiere fois, pas de reponse…

 

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Susan Bones était une eleve discrete et timide, mais digne d’une confiance sans nom… Eleve de Poufsouffle, connaissait et pratiquant la magie depuis ses 11 ans, Susan était une fidele amie…

 

Une nee-modlu venant de Londre, une douce enfance…

 

Or, elle avait disparu…

 

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Nathan Lownes, était un eleve de Serpentard depuis peu… Personne ne savait d’où il venait, de quelle ecole, de quelle ville, de quel pays…

Il était un mystere a lui tout seul, un secret des plus dissimuler…

 

Ce qui en faisait un ennemi plus redoutable…

 

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Blaise Zabini, meilleur ami du Prince des Serpentard et son bras droit…

Un jeune homme discret et silencieux, tel un serpent…

 

A Poudlard depuis ses 11 ans, pratiquant la magie depuis toujours…

Emprisonne entre les griffes du Mal…

 

Contre son gre…

 

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Pansy Parkinson, jeune fille froide et hautaine…

Meilleure amie du Prince des Serpentard depuis la naissance…

 

Une carapace de glace ou se cache une jeune fille sensible, marante et gentille…

Pansy avait sue depuis le retour du Lord Noir qu’elle aurait des ennuis…

Pourtant, elle n’avait rien dit… Elle avait peur !

 

Elle se retrouvait dans les bras du Mal, contre son gre…

 

Ce qu’elle desirait, était la liberte….

 

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Ginny Weasley était une jeune fille charmante, pleine de vie !

Un rayon de soleil dans une journee de nuage…

 

Pourtant devant son air d’etre toujours heureuse, forte  et ne voyant que le bon cote des chose se cachait une jeune fille terrifiee de la guerre a venir…

 

Elle avait peur, peur pour ses amis, peur pour sa famille… Mais pourtant, elle n’avait pas peur pour elle…

 

Si elle devait mourir a la place d’un ami, elle le ferait sans hesitation !

 

Pour la Liberte…

 

*~~~~~~~~~~*~~~~~~~~*

 

Neville Londubat était un garcon peureux et courageux a la fois…

Il avait perdu ses parents, tuer par une femme au cœur de glace…

 

Il s’était jurer, qu’il se vangerait ! Il n’était plus le garcon de premiere annee tremblant devant le moindre bruit suspect, il avait muri…

 

Il était maintenant pres a se battre,

 

Pour la Liberte…

 

*~~~~~~~~~~~*~~~~~~~~~~~~*

 

Ronald Weasley était un grand rouquin, meilleur ami du Survivant…

 

Terrifie par les araignees, ne savant pas faire voler une plume et changer un rat en un verre a pied.

 

Pourtant, il était logique… Il était imbatable dans la logique des choses et cela presentait un avantage…

 

Il se battrai comme les autres,

 

Pour la Liberte…

 

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Luna Lovegood était une jeune fille tres etrange… Des coliers plus surprenants les uns que les autres, des boucles d’oreilles avec des radis…

 

Oui, la Serdaigle était tres etrange et pourtant elle était une jeune fille tres fidele en amitie…

 

Elle avait perdu sa mere…

Et cela lui était une raison suffisante pour se battre…

 

Pour la Liberte…

 

*~~~~~~~~~~~~*~~~~~~~~~~~*

 

Harry Potter, le Survivant…

Fils  de James Potter et Lily Evans, orphelin depuis ses un an….

Connaissant la magie depuis ses 11 ans, et la pratiquant…

 

Vouer a combattre le Seigneur des Tenebres…

 

Harry n’avait pas eu une belle enfance et son adolescance commencait a en devenir de meme…

 

Pourtant il ne perdait pas espoir, il se battrait jusqu'à la fin…

 

Pour la Liberte…

 

*~~~~~~~~*~~~~~~~~*

 

Drago Malfoy, fils de mangemorts et Serpentard de premier nom…

 

Un jeune homme froid et hautain…

Vivant dans le luxe et semblablement bien, pourtant il cachait bien des cicatrice qu’il n’oublierai jamais…

 

Des cicatrices de son ame…

 

Il n’avait pas eu une enfance heureuse… Battu quand il n’obeissait pas a son père, au Doloris…

 

Seule sa mere l’avait prise une fois, une unique fois…

 

Lucius Malfoy avait été seulement son geniteur, Drago était obliger de l’appeler «  Père » mais pour lui ce n’était pas son père…

 

Et cela ne le serait jamais…

 

Son plus grand reve ? La Liberte…

 

Oui, le plus grand reve de Drago Malfoy était d’etre libre…

 

La Liberte…

 

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Severus Rogue, la chauve-souris des cachots… Un homme des plus froid et glacial…

 

Pourtant, un homme briser… Un homme qui n’avait pas eu le choix et avait vu le corps sans vie de femme dont il était amoureux depuisses 10 ans…

 

Severus cachait des secrets tres sombres, d’où on se perdrait et pourtant il affrontait la vie…

 

Severus Rogue était un homme courageux, qui detestaient les Griffondors… Pourquoi ? Pour trois raisons : un des eleves était le fils de son ennemi, il était un Serpentard et egalement car une nee-moldu lui rappelait Lily Evans…

 

Lui rappelait trop Lily…

 Lily…

 

Pour elle, il se battrait…

 

Pour la Liberte…

 

Chapitre 16.

 

A la lisiere de la Foret Interdite, une ombre silencieuse observait le château…  Un danger silencieux et mysterieux inconnue…

 

Pour l’instant…

 

*~~~~~~~~~~~~~*~~~~~~~~~~~~~*

 

-         Coucou les garcons, bien dormis ? Demanda une jeune fille brune au couleurs bordeaux et or, a deux garcons.

-         Oui et toi, Mione ? Repondit Harry Potter.

-         Pas vraiment apres se qu’il s’est passer hier…

-         Susan Bones ? Demanda Ronald.

-         Oui, cela m’inquiete…

-         Nous aussi, de plus Harry a eu mal a sa cicatrice…

-         Ce n’est rien… c’est pas gr…

-         Harry ! Pourquoi tu ne me l’as pas dis ? Tu es aller voir Dumbledor, j’espere ? La coupa Hermione.

 

Ils etaient tout les trois en compagnie des Serpentard et du reste des Griffondor de leur annee, devant la salle de potion…

 

-         Non je ne suis pas aller le voir… Hermione, je te jure que ca va !

-         Je suis sure que Sir… enfin, Sniffle aimerait le savoir ! Repondit Hermione.

-         Je lui ecrirais, d’accord ! Ceda le grand brun.

 

 

Le silence se fit quand le professeur, le veritable, des potions s’arreta pres de la porte…

 

-         Entrez ! dit-il froidement, pour ne pas changer …

 

Ils entrerent donc, mais avant qu’ils ne s’asseyent le Severus Rogue les arreta.

 

-         Je vous ai déjà placer !  Regardez sur l’affiche ! C’est marquez votre nom ! Dit-il sechement.

 

Alors tout les eleves chercherent leur place respectitives, ce qui ne fut pas chose aiser.

Quand enfin tout le monde fut a sa place, le cour debuta.

 

Rogue fit son petit discours comme chaque annee, mais plusieurs eleves etaient ailleurs et il le vit bien… Pourtant, il ne fit aucun commentaire et fit son cour…

 

Six personnes etaient dans leurs plus profondes pensees… Ils ne se donnaient pas la peine d’ecouter bien que quelque brides de phrases les atteignaient parfois…  Cinq  etaient presents physiquement dans la piece, une autre mentalement…

 

Trois regardaient par la fenetre, trois autre regardaient leurs mains…

Chaqu’un perdue dans les meandres de leurs souvenirs, souvenirs noirs…

 

Sauf qu’ils ne savaient pas qu’ils etaient proches, trop proches…

Une liaison dangereuse… Qu’ils soient amis, ennemis, amants…

 

Or, ils ne le savaient pas… Personne ne savaient…

 

Sauf une ombre a la lisiere de la foret…

 

Trois pensaient aleur famille, trois autre a la guerre…

 

«  Pourquoi ? Pourquoi tant de haine si elle va a notre perte ? » se demandaient-ils tous…

 

Malheureusement, aucune reponse ne leur veint…

 

Depuis leur 11 ans, ils etaient ici… Dans un château magnifique… Un paradis…

 

Mais maintenant leurs ames, elles, etaient en enfer… Un delicieux enfer, dans on ne ressort jamais…

 

Ils en etaient conscients et pourtant…

 

Ils resteraient…

 

Chapitre 17.

 

Une semaine fut passee, et la sortie a Pres-au-lard était organiser aujourd’hui.  Demain nous serions le 19 septembre, l’anniversaire D’Hermione qui se faisait dorlotter par ses amis de toujours.

 

Bien que nous soyons seulement debut mi-septembre, un grand froid se fesait ressentir… Que cela soit physiquement ou moralement.

 

Pour des personnes deprimers, le temps n’était pas pour les aider… Un ciel gris tenebreux, de la pluie et un vent violent…

Hermione, elle, de la fenetre de sa salle commune ne voyait que brumes, pluie et rafales de vent… elle s’inquietait de plus en plus pour son père.

Voila une semaine et trois jours qu’elle n’avait plus aucune nouvelles, et sans rajouter du bruit plus qu’inquietant du grondemant avant la derniere phrase prononcer par son père…

 

Ginny voulait l’amener a Pres-au-Lard pour lui changer les idees, mais elle avait refuser. Peut-etre aurait-elle du ? Mais elle était consciente qu’elle ne serait qu’un fardeau… Alors autant rester…

 

Elle ne voulait rien faire, ne voulait pas travailler, ne voulait pas lire, ne voulait pas bouger… Elle voulait rester comme cela toute sa vie, au calme et oublier ses problemes…

 

Cela fesait une semaine que personne n’avait vu la Poufsouffle disparue… Aucune nouvelle apres son hurlement dechirant…

 

La Gazette du Sorcier niait toujours le fait que le Lord Noir était revenu, bien que toute l’ecole le savait…

D’ailleurs, le Mal était ne fesait rien ces derniers temps ce qui avait le don de rassurer les uns et d’inquieter les autres…

 

Hermione en faisait partie…

Elle ne trouvait pas chose rassurante que les Mangemorts ne fesaient rien car le calme avant la tempete…

 

A ce moment precis, l’orage gronda faisant sursauter la jeune fille… La pluie commenca a se deverser en tempete suivie des hurlement du vent…

 

Un paysage effrayant… Hermione laissa echapper une larme… Elle n’en pouvait plus…

 

Bien qu’elle soit courageuse, elle devait avouer que si les Serpentards avouaient a leur maitre qui elle était reellement, elle serait dans de graves problemes.

 

Elle bailla. Elle s’ennuyait et imaginant ses amis tranquillement devant une biere au beurre, cela lui donna enfin l’envie de sortir.

 

Elle s’habilla vite fait dans sa chambre, esseya de se coiffer pui pris sont manteau sont oublier sa baguette et sortir avec l’autorisation dans sa main…

 

Par chance elle croisa le professeur McGonagal qui accepta qu’elle sorte en retard.

 

Une fois dehors, Hermione soupira de contentement… Elle pouvait sortir, courire ou rejoindre ses amis. Pourtant, elle choisie de se promener seule pour l’instant…

 

Le vent fesait voleter ses cheveux, pourtant cela ne la derangeait pas… La pluie avait pour l’instant cesser mais l’orage grondait toujours, menacant…

 

Elle arriva au abord du village et decida de traverser la foret qui passait non loin de la cabane hurlante. Bien qu’elle se sentie suivit, elle n’accelera ni ne ralentit pas sa marche. Elle n’était pas Griffondor pour rien !

 

Soudain, elle entendit de bruit distinc : un rire gras et un grondement.

Elle s’arreta net et regarda autour d’elle… Rien. Bien qu’elle affichait un air impassible, son cœur, lui, battait fort…

Soudain, elle vit une forme noir s’elancer et sauter sur un rocher non loin d’elle et du procahin croisement… Un loup.

 

Il la fixa puis porta son attention sur quelque chose arrivant vers lui : des voix.

Des voix de Serpentards…

 

Puis les formes des vert et argent se firant voir… Pour ensuite  laisser place a un grand silence…

 

Les eleves se regardaient puis regardaient le loup, qui faisait de meme…

 

La jeune fille commencait reellement a regretter de ne pas etre rester dans sa salle commune, surtout quand le loup porta son attention sur elle… Des yeux rouges…

 

Hermione frissonna brusquement…  Dans son ventre, une boule d’une grande angoisse se forma…  Et elle trembla legerement…

 

Elle ne laissait rien parraitre mais elle était terrifier…

Les gracons n’en menait pas large…

 

La douce jeune fille sentie son collier  la bruler furieusement… La douleur était tellement forte qu’elle porta une main a son cou…

 

Elle devait partir, immediatement !  Pourtant, elle ne pouvait pas bouger…  Elle était hyptnotiser par ce regard…

 

Pas un bruit… Le calme avant la tempete…

 

Soudainement, le loup noir aux yeux rouges sauta du rocher et s’approcha dangereusement pres de la jeune Griffondor…

 

Alors qu’il allait se jeter sur elle, un eclair rouge fonca sur lui, l’envoyant valser  quelque metre plus loin sans pour autant l’assomer..

 

Les Serpentards accoururent pres d’Hermione qui put enfin voir de qui il s’agissait :  Blaise, Drago et Pansy …

 

Ils sortirent tout quatre leur baguette et se rapprocherent…

 

Le loup, lui, s’etaient relever et avait était rejoint par deux autres loups, aussi aux yeux rouges…

 

Le combat allait commencer…

 

 

Chapitre 18

 

Les jeunes gens reculerent de quelques pas…

 

Ce fut Pansy qui envoya le premier sort, puis Blaise  et enfin Drago et Hermione. Le sort combiner du jeune blond et de la Griffondor fit expulser un des loup contre un arbre …

 

Il en restait deux conscient…   A nouveau ils envoyerent des sorts mais sans succees… Ces deux loups etaient corriaces et pendant un instant Blaise se demanda comment il s’était retrouver a ce battre contre deux loups pour une Griffondore…

 

Il n’eu pas le temps d’aproffondir ses reflexions, qu’il se retrouva a terre sous le crier horrifier de Pansy, qui accourut a ses cotes. Laissant seulement Drago et Hermione se battre…

 

Se fut soritleges informuler sur sortileges informuler qui s’abattirent sur les deux monstres, pourtant ils resterent toujours debout tandis que les adolescents commencaient a fatiguer.

 Cependant que les adolescents commencaient a feblirent, Pansy tentait de reveiller Blaise qui finit pas bouger legerement, ce qui eu le don de rassurer considerablement la jeune Serpentard. Bien que superficiel et froide, Pansy avait des sentiments. Des sentiments envers le jeune homme qui était allonger devant elle au bord de l’inconscience. Depuis enfant il était son meilleur ami, elle tenait enormement a lui et, en grandissant, elle s’était dorenavent encore plus attacher a lui pour finalement avoir des sentiments qui lui etaient et le sont encore, inconnu…

 

Soudain, un hurlement terrifiant lui fit sortir de ses pensees.

 

Hermione était agenouiller, des larmes perlants sur ses joues, tenant le fin chaine accrocher a son cou. La douleur était insoutenable, tellement qu’elle était au bord de l’evanouissement. Elle avait l’impression que l’on l’a marquait au fer rouge, que les flammes lui rongeaient la peau, que les carressent du feula brulait a l’exterieure comme a l’interieur…

Puis, ce fut la qu’elle les vit. Ces images, si net, si precise. Comme si chaque details n’avaient jamais été oublier, comme si cette soiree, cette soiree maudite c’était passer la veille… Cette soiree ou tout avait été detruit, cette soiree ou une famille avait été une nouvelle fois separer, reduite a neant dans les profondeures de la penombre…

Ces yeux… elle les connaissait, c’était eux qui avaient tout detruit ! C’était eux qui etaient venu ! C’était eux, qui les avaient attaquer, cette nuit-la….

 

Pourtant, meme cette decouverte ne calmait pas la douleur de la jeune fille… Elle entendit une voix murmurer dans la penombre, avant de sombre :  «  Au commencement, etaient l’absence et le desir »

 

 

Puis se fut les tenebres….

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 19

 

-         Tu crois qu’elle va se reveiller bientôt, Drago ? Demanda une voix familiere.

-         Je ne sais pas… Repondit une autre voix.

-         Qu’est-ce que c’était au juste, ce qu’il s’est passer tout a l’heur ? Fit une voix masculine.

-         Je n’en sait rien, mais il faudra en reparler avec elle… Repondit la seconde voix.

 

«  Les tenebres… Un magnifique jardin fleurit en cette saison de printemps, un couple avec une minuscule chose dans leur bras… Un sourire… Le ciel bleur  virant  tout d’un coup au noir, la lune dominatrice de la nuit… Une ombre, un arbres menacant… Un cri… Puis, plus rien… Seulement une roze noir sous la clarter de la lune, malheureuse... »

 

Hermione se mit a bouger faiblement en emettant un petit gemissement, sous le regard inquiet et soulager de l’assembler. Elle ouvrit doucement les yeux puis essaya de s’assoire mais la douleur fut trop forte… Alors, elle s’enteta a rester allonger.

 

-         Qu’est-ce qui s’est passer ? Demanda-t-elle d’une voix faible, aux trois adolescents.

-         On ne sait pas vraiment, tu t’ai evanouie et les loups sont partis a ce moment-la. Repondit le metis.

-         Je sais que cela va paraitre etrange, mais j’ai cru voir, un instant, qu’ils avaiant l’air… satisfait. Ajouta Pansy, hesitante.

 

Le silence se fit entre les quatres eleves, chaqu’un reflechissant a se qu’avait dit la jeune fille.

 

-         C’était des animagus… Dit simplement la Griffondore.

-         En es-tu sur ? Parla pour la premiere fois, le blond.

-         Oui, je crois les avoir déjà vu mais je n’en suis pas certaine…

-         Comment aurais-tu put déjà les voir ? Demanda Pansy, mettant sa haine de cote.

 

Si un eleve aurait vu cette scene, il se serait surement evanouit. Trois Serpentard et une Griffondore parler calmement comme maintenant aurait surement fait la une de La Gazette Du Sorcier. Or, l’heure n’était pas a se disputer mais a analyser quelque chose de bien au-dela de la haine.

 

-         Je ne sais pas, je n’en sais rien Parkinson. Mais je suis persuader de les avoir déjà vu…

-         Tu crois que cela pourrait etre le soir ou… Demanda prudement Blaise.

-         Je crois bien… mais je n’en suis pas sur. Il… il s’est passer beaucoup de chose ce soir-la… Repondit doucement Hermione.

-         Dans tout les cas, ces choses sont dangeureuses ! S’exclama Blaise.

-         Sans blague… Murmura Pansy.

 

Le silence tomba a nouveau dans la salle, mais c’était un calme appaisant… Les quatres jeunes eleves etaient perdu dans leur pensees et sursauterent quand de grands coups se firent entendre au tableau de la salle commune des prefets.

Sous le regard de l’assembler se fut Drago qui se leva lentement et ouvrit le tableau. Alors Harry, Ron et Ginny apparurent dans le champs de vision d’Hermione…

Harry, cheveux non-coiffer, rouge comme un potiron et essoufler comme si il avait été poursuivit par un de ces manuels que Rebeus Hagrid avait demander en leur troisieme annee.

Ron, lui aussi cheveux en batailles et semblant en feu, de toute evidence son teint s’accordait tout a fait avec ses cheveux.

Ginny n’avait pas meilleur allure, elle ressemblait a une flamme vivante.

 

-         Hermione ! Hermione, est-ce que ca va ?Demanda la flamme vivante.

-         … Oui, oui ca va ne t’inquiete pas… Mais je peux savoir ce que vous faite ici ? Repondit la brune.

 

Aucune reponse ne lui vint seulement un echange de regard entre les trois autres rouge et or.

 

-         Ginny ? Harry ? Ronald ? Demanda-t-elle avec inquietude.

-         On a entendu des cris pres de la foret de Pres-au-Lard et….on t’as vu inconsiente… On est aller chercher Dumbledore pour qu’il sache mais tu n’etais plus la…. Repondit Ginny, se mordant la levre inferieur.

 

La nouvelle ne vint pas tout de suite a Hermione puis petit a petit le contact se fit….

 

-         Tu as tout dis a Dumbledore ?! S’ecria-t-elle en se relevant precipatement, malheureusement ses jambes ne voulaient apparement pas la porter car elle manqua de s’ecrouler mais Blaise la retint a temps et l’a fit rassoir doucement. Hermione le remercia du regard.

 

-         Je suis desolee, vraiment, mais je n’avais pas le choix ! S’exclama Ginny.

 

-         Tu te rends compte qu’il faut donc que je lui avoue tout ?!

 

-         Oui…mais… Hermione, de toute manière il faut lui dire ! Il pourrais te protéger !

 

-         Je n’ai pas besoin d’être proteger ! Répliqua la jeune fille.

 

-         Tu crois que c’est seulement Nott qui essayera de t’atteindre ?! Demanda Ginny, en debut de colere.

 

-         Je sais parfaitement me defendre Ginny !

 

-         Contre les partisans de Voldemort tu ne pourrais pas faire un geste qu’ils t’auraient deja !

 

-         Tu crois que je ne le sais pas ?! S’écria Hermione, a bout de nerfs.

 

Devant la colère des deux jeunes filles, l’assembler s’était écarter. Une tension enflammer survolait la pièce, et les verts et argents étaient relativement surpris d’un tel emportement.

 

-         Je veux juste dire que tu ne vois pas le danger que cela represente. Tu les sous-estimes, Hermione. Déclara Ginny d’une voix calme mais glaciale.

-         Ginny, de toute maniere nous sommes en guerre. Repondis Hermione sur le même ton.

-         Tu crois que je n’avais pas remarquer … ?

-         Ginny…

-         Non, non c’est bon. J’ai compris. Il est tard et je suis fatiguer. On se voit plus tard. Dit Ginny avec lassitude.

 

Ce fut sur ces dernières paroles qu’elle s’en alla, suivit de Ronald. Harry fut le dernier a partir :

 

-         Hermione, Ginny a raison. Fais attention.

 

Et il partis aussitôt.

 

Comme la nuit se fesait ressentir, la jeune Griffondor dit bonsoir aux serpents et partit se coucher .

 

Demain serait une journee longue, tres longue.

 

Mais ça, elle l’ignorait encore…

 

 

Chapitre 20

Premiere Partie.

19 decembre. Soit le jour J.

 

Hermione se reveilla au aurors, les evenements de la veille tourmentant trop son sommeil. 16 ans. Aujourd’hui elle avait 16 ans. Elle se demandait comment etait-ce possible qu’elle soit encore en vie apres tous les obstacles de la vie. La chance peut-être… ? Elle en etait peu convaincue…

 

Elle se leva et se dirigea dans sa salle de bain pour se rafraîchir quelque peu… Une fois chose faite, elle alla chercher des vêtement décontracter, les enfila puis essaya de se brosser…sans succès.

Une fois prete, elle sortit de l’appartement et se dirigea vers le parc. Un vent frais faisait voleter sa chevelure, mais cela ne la derangeait pas.

 

Durant tout le trajet, elle se sentit suivit. Une impression très gênante et inquiétante. Elle hésita a se retourner mais decida finalement de s’installer pres du lac noir.  Elle sentait que quelqu’un se rapprochait, sans compter qu’elle distinguait une forme qui lui etait vaguement familière a la surface du lac. La personne etait juste derriere elle a present.

Soudain une voix.

 

-         Eh bien Granger, tu n’arrive pas a dormir ? Fit une voix mielleuse, d’apres ses souvenirs cela devait etre le jeune Nathan Lownes., soit problemes en perspective…

-         Que me veux-tu ? Repondit Hermione avec lassitude.

-         Quand on me parle j’apprecierai que l’on me regarde ! S’exclama froidement le Serpentard.

-         Quand je sors seule, c’est pour etre seule. Repliqua Hermione.

-         Du courage ! Voyez-vous cela ! Vous serez les premiers a partir, vous, les courageux ! Siffla le garçon.

-         Peut-etre mais faudrait-il encore que Voldemort gagne. Repondit Hermione.

-         Et qui te dit qu’Il ne gagnera pas ?! Dumbledor ?!

-         Personne ne le sait, mais Voldemort ne merite pas de vivre !

-         Comment oses-tu dire ca ?! Les moldus et amoureux de moldu non plus !

-         Toi et tes prejuger vous pouvez vous en allez !

-         J’aimerai mais je ne peux pas.

-         Et pourquoi donc ? Tu as trop peur ?!

-         Fais attention à ce que tu dis !

-         Et pourquoi ? Tu va m’envoyer un sort ? Hou j’ai peur !

-         Tu ne me connais pas !

-         Et je n’en ai pas envie !

-         Toujours connaître ses ennemis, tu n’ai pas au courant ? Demanda froidement Nathan en s’approchant dangereusement d’Hermione.

-         Oui mais cela me répugne ! Recule !

-         Je n’ai pas d’ordre à recevoir de toi !

-         Et moi je n’ai pas peur de toi !

-         Tu devrais ! Tu ne sais pas de quoi je suis capable !

-         Les Serpentard ne sont capables de rien a part suivre les bottes de Voldemort comme des chiens !

-         Les Mangemorts ont tué ton pere adoptif ! Dit-il avec un sourire cruel.

 

Le monde s’effondra. Ce n’etait pas possible. Hermione ne voulait pas le croire mais une partie d’elle savait qu’il disait vrai. Une veriter qui la glacait. En cet instant, ce serpentard l’effrayait. Il avait quelque chose de non humain. Ses yeux etaient trop…  intenses. Sa peau etait trop pâle. Hermione le regarda mieux chaque details. Elle en trouva un qui l’a fit reculer brusquement.

Chez les personnes normales le torse ou la poitrine s’élevait lors d’une respiration. Or, chez Nathan, non. Hermione le regarda droit dans les yeux. Son cœur loupa un battement.

-         Impossible… Murmura-t-elle.

-         Qu’est-ce qui est impossible, Granger ? Demanda le serpentard d’une voix effrayante.

-         Tu ne peux pas être un… Dumbledor ne l’aurait jamais permis… 

-         Il est facile de berner ce vieux fou !  Mais je dois avouer que tu es très intelligente… Une sang pur en plus. Repondit Nathan, toujours avec cet air effrayant qui paralysait la jeune fille.

-         Mon sang n’a rien avoir avec cela !

-         Allons allons, calmons-nous … !

-         Laisse-moi partir ! S’écria soudainement Hermione.

-         Et pourquoi donc ? Tu n’aime pas ma companie ?

-         Pas du tout ! De plus, j’ai des choses à faire !

-         Comme ? Tu ne devrais pas frequanter des personnes tel qu’eux ! Tu es des nôtres. Une sang pur ! Rejoins-nous !

-         Plutôt mourir ! S’exclama férocement la jeune fille.

-         Tu nous rejoindras, Granger ! De gré ou de force ! Tu es trop puissante pour que le Seigneur des Ténèbres ne laisse passer cette chance !

-         Jamais je ne rejoindrai Tom Elvis Jedusor !

-         Tu ose prononcer son véritable nom ?! Tu es insouciente !

-         Je suis courageuse !

-         Ton satané courage de perdra ! Ecoute-moi bien Granger, tu rejoindras les Ténèbres ! C’est ainsi que cela doit se passer ! S’exclama-t-il en lui saisissant le bras et la collant contre lui.

 

Lownes sentait la jeune fille tremblait contre lui. Cela le fit sourire. Si fragile. Il pouvait ressentir toute sa peur. Pourtant, tout ce qu’il disait était vrai. Mais ça, la jeune fille ne le savait pas. Pas encore. Il approcha sa bouche de son oreille et murmura.

 

-         Je suis bien plus dangereux que tu ne le crois Granger. Pas a cause de ma nature mais d’autre chose que tu découvriras avec le temps. Evite de te promener seule désormais. Je serai la pour te surveiller. Ne parle a personne de ce que tu as découvert ou je te promets que tu le regretteras. Et n’oublie pas, si tu ne viens pas aux Ténèbres, les Ténèbres viendront a toi. En au fait, Joyeux Anniversaire douce Hermione.

 

Le jeune Serpentard la lâcha doucement, la regarda dans les yeux et partit.

Hermione resta pétrifier.

 

Elle s’écroula pres du lac, ses mains couvrants ses yeux comme pour les empêcher de verser des larmes qui menacaient. La peur de sa vie. Elle venait d’avoir la peur de sa vie. Son père adoptif était mort, Nathan était une créature mythique et elle devait rejoindre les Ténèbres. Génial. Elle n’aurait pas rêver mieux comme anniversaire !

 

Ce fut alors là, a ce moment précis, assise dans le parc sur l’herbe fraîche près du lac qu’Hermione hurla. Hurla de désespoir. Un cri déchirant. Qui résonna jusqu’au fin fond. Un cri de douleur intérieur. Un hurlement que personne ne pourrais calmer.

 

Hermione se laissait aller au désespoir. Pourquoi ? Pourquoi, elle ? Elle n’avait jamais voulu tout ça. Ses parents adoptifs étaient morts. Son vrai père était mort, elle ne savait pas où se trouvait sa mère et son frère.

Elle était persécutée par les Serpentard et un vampire. Elle n’en pouvait vraiment plus. Sans compter que ce n’était que le début de la journée.

Debut de journee qui s’annoncait plus longue qu’elle ne l’avait prevue…

 

~~~                                                                   ***                                                                                     ~~~

 

-         J’ai cherché Hermione partout, elle ne se trouve nulle part ! S’exclama Ginny Weasley en direction du celebre Harry Potter.

-         C’est etrange. Habituellement, elle nous attend. Repondit ce dernier.

-         Elle est bizarre ces temps-ci ! Repondit a son tour naturellement Ronald.

-         Vous savez tres bien pourquoi ! Elle a due partir se promener un peu... Commenca Ginny

-         … Et lire un gros livre sous un arbre ! Finit Harry et Ron.

 

Les trois amis sourire tendrement en imaginant leur amie le nez plonger dans un bouquin. Pourtant, malgre cette idee, Ginny savait que quelque chose se tramait. Son pressentiment ne fit qu’augmenter quand vit qu’à la table de Serpentard il manquait quelque eleves de septieme annee.

Mais ne voulant pas inquieter les garcons à leur tour, elle n’en fit pas part et continua de manger perdue dans ses pensees.

 

-         Au fait, c’est l’anniversaire d’Hermione aujourd’hui ! S’exclama soudain Ron.

-         Bravo Ronald, tu ne t’en souviens que maintenant ? Se moqua une voix dans le dos de Ginny.

-         Bien sur que non Mione ! Se rattrapa maladroitement le rouqin.

 

A son grand soulagement, la jeune fille eclata de rire puis s’assit pres de Ginny, en face d’Harry. Elle semblait de bonne humeur, personne n’aurait pu se douter de la nouvelle qu’avait tantot ebranler la jeune rouge et or.

 

-         Bien dormis ? Lui demanda Ginny.

-         Oui, oui et toi ?

-         Oui, comme une marmotte mais bon ce n’est pas pire que Ron. J’ai du entrer dans le dortoir des garcons et, avec Harry, on a du mettre une bonne vingtene de minutes pour le sortir du lit ! Raconta la jeune rousse, sous les eclats de rire d’Hermione et d’Harry.

-         GINERVA MOLLY WEASLEY ! S’ecria Ronald d’une voix aigu, aussi rouge que ses cheveux.

 

Son emportement ne fit qu’accentuer les rires de ses amis et les regards des eleves sur lui. Ron devint aussitôt plus rouge que jamais. Hermione fut la premiere à se calmer suivit de quelques instant par Ginny et Harry, qui essuyaient leurs dernieres larmes de rires. Enfin les trois comperes se rendirent compte que l’assembler de la Grande Salle les regardait…etrangement. Ce furent a leur tour de rougirent fortement. En echangent un seul regard, ils se mirent d’accord et s’enfuirent a toute jambes de la Grande Salle muette comme jamais elle ne l’avait été.

 

Les quatres amis courrurent jusqu’au lac noir et s’ecroulerent en plein fou rire. Il fut bien besoin de dix a vingt minutes pour leur faire reprendre contenance.

 

-         La honte, Ginny pourquoi tu as dit ca ?! S’exclama Ronald en se prenant la tete entre les mains.

-          C’est toi ! Ce n’est pas moi qui ai hurlé dans toute la Grande Salle ! S’exclama sa sœur.

-         Oui bon, d’accord mais quand meme ! Marmona le rouqin dans son coin.

 

Il ne fesait pas tres beau temps ce jour-la, le vent soufflait tel que les deux jeunes filles ressemblaient a des epouvantails avec des coiffures style disco moldu.

En claire, elles fesaient peur.

 

Peu d’eleves n’osaient s’aventurer dans le parc du château, preferant rester pres de la cheminer de leur salle commune. Ou dormir en ce dimanche comme certain.

 

Ne voulant pas rester a l’interieur en ne fesant rien, les quatres comperes deciderent de prendre le « bon » temps, bien que le dite temps ne jouait pas en leur faveur.

Hermione et Ginny commencerent à discuter de tout et de rien, cependant que Ronald commencait à courire apres le Survivant qui avait visiblement continuer de se moquer de l’episode precedant.

 

Ce fut ainsi pendant pres d’une heure, mais bien  vite les garcons commencerent a s’ennuier. Ainsi leur vint l’idee d’embeter les deux jeunes filles tranquillement allonger dans l’herbe, toujours entrain de papoter entre elles.

 

Tandis que les garcons complotaient contre les amies insoucientes, plusieurs personnes les epiaient. Ce n’était pas des personnes au cœur d’or, mais plutôt au cœur de glace. Des cœurs de glaces impossibles à rechauffer.  Des cœurs emplis de noir d’encre, des cœurs qui savouraient la mort.

 

-         Cela fait un petit moment que Cormac McLaggen te regarde, je pense qu’il a un penchant pour toi. Dit Ginny, un sourire en coin.

-         Ne dis pas de betises, de plus je ne lui ai jamais adressé la parole ! Repliqua Hermione, rougissante.

-         Hermione, Hermione, Hermione. Tu n’es plus la premiere annee que l’on connaissait ! Tu as grandis et tu es tres belle ! Alors c’est normal qu’un garcon te regarde ! S’exaspera la rousse.

-         Meme si c’était le cas, Cormac ne m’interresse pas ! Repliqua encore une fois la brune.

 

Ginny ne repondit pas et laissa passer, mais son regard indiquait clairement qu’elle ne lacherait pas l’affaire comme cela.

 

Soudain, la jeune rousse fut tremper jusqu’au os ainsi qu’Hermione qui poussa un petit cri. Ginny, elle, ne dit rien. Elle se releva calmement, ce qui surprit les coupables mais qui fit sourire diaboliquement sa fidele amie.

 

-         Les garcons, pouvez-vous m’expliquer pourquoi avez-vous fait ca ? Demanda calmement la fille de Molly et Arthur Weasley.

 

 Bien qu’elle eu un ton calme, elle était plus effrayante que jamais. Ses longs cheveux roux volaient autour de son visage, ses yeux aussi froids que de la glace les transpercaient de toutes parts. Les mains sur les hanches,  elle attendait visiblement, dans une position qui marquait tout a fait qu’elle était la fille de Molly, une reponse qui vint enfin, hesitante.

 

-         Heu…Eh bien en faite… C’est parce que nous… nous… etions… Balbultina le rouqin sous le regard de sa petite sœur qui dirigea son regard vers Harry.

-         C’était pour plaisanter…. Murmura le Survivant.

-         Pardon ? Je n’ai pas tres bien entendu. Repliqua froidement la rousse.

-         C’était pour plaisanter. Dit à nouveau le jeune homme avec plus d’assurance.

-         Si je vous lancais un sortilege, on prendrait donc en compte que c’était pour plaisanter ? Demanda la rouqine avec un etrange sourire qui fit froid dans le dos aux deux fautifs.

-         Heu…oui…oui, bien sur. Dit son frere d’une voix hesitante.

 

Un silence s’installa, puis se fut Hermione qui reparla :

 

-         Alors nous vous conseillons de courire ! Dit Hermione avec un sourire en coin, a la Malfoyenne.

 

Ni une ni deux, les deux garcons se mirent a courire pousuivit par deux « folles vangeresses » comme ils les appellerent plus tard.  Le fond de la scene était plutôt pas mal, etant donner que l’orage grondait suivit d’eclaire sans pour autant qu’il pleuve.

 

Les garcons commencaient déjà à fatiguer alors que les filles n’etaient a peine essouffler. Prenant leur elan, ces dernieres sauterent sur le dos des garcons qui s’ecroulerent sous les rires de leurs cheres amies. Hermione affaler sur Harry et Ginny ecrasant son frere. Tout quatres etaient au sol à nouveau en plein fou rire. Hermione songea en cet instant qu’elle ne voudrait jamais arreter de rire avec ses amis. C’était si bon de s’eloigner de la guerre a venir. Cette derniere penser lui fit monter les larmes aux yeux en songeant à son père adoptif mort par sa faute, bien que se soit des mangemorts a l’origine. Elle se retint de fondre en larmes, ne voulant pas faire plaisir à ses ombre mysterieuses a la frontiere de la Foret Interdite, car oui elle les avait remarqué. Ses pensees furent interrompus par son amie :

 

-         Hermione, est-ce que tout va bien ? Demanda la rousse doucement.

-         Oui, oui ne t’inquiete pas. Repondit vaguement Hermione.

-         Bien, on ferait mieux de rentrer pour le dejeuner ! Sinon je crois que Ronald va tous nous manger ! S’exclama Harry, le sourire au levres.

-         Excellente idee ! Repondit tout joyeux, Ron.

 

Cela fit rire Hermione bien que son regard demeura sombre. Le rire n’avait visiblement pas atteint ses yeux, ce que ne manqua pas de remarquer Ginerva.

 

En poussant les portes du château, ils tomberent nez a nez avec une bande de Serpentard et pas n’importe laquelle.

 

-         Tien, tien ! Potter et ses amis ! S’exclama Drago Malfoy, son fameux sourire en coin.

-         Tien, tien ! Malfoy et ses idiots d’acolytes ! S’exclama à son tour Harry Potter, un air exasperer peint sur le visage.

-         Alors Potter, tu sorts avec une traite a son sang ? Demanda le blond en jetant un regard à Ginny qui l’affronta.

-         Qu’est-ce que tu veux dire Malfoy ? Demanda le Survivant, l’air de ne pas comprendre.

-         Pas tres reactif ce matin Potter ! Je te parle de la sœur de Weasmoche ! Repliqua Drago avec exasperation.

-         Ne parle pas de mon frere de cette manière ! S’exclama la rousse, furibond.

-         Oh on s’enerve, Ginerva ? Avanca le Serpentard, un sourire carnassier aux levres.

-         Laisse la tranquille ! S’exclama Ronald.

-         C’est comme ca tout le temps ? Vous savez que quand vous rougissez votre teint se confond avec vos cheveux ? Demanda Drago, l’air interresser.

-         C’est mieux que de ressembler a un mort Malfoy. Repliqua Harry.

-         Moi, je vaux mon sang ! S’exclama farouchement le blond

-         Tu ne vaux pas mieux que Voldemort ! S’ecria le Survivant.

 

Cette derniere replique jeta un froid sur l’assembler. Hermione n’avait pas parlé depuis le debut de la dispute, des le debut son regard avec été capturer par Nathan Lownes. Ce dernier semblait lui dire de ne pas intervenir, ce qu’elle fit.

Bien qu’elle ne regardait pas la scene, elle avait tout entendue. Oui, elle detestait Malfoy de tout son etre mais on ne pouvait pas le comparer a Lord Voldemort. Ce qu’Harry venait de lui dire paraissait a la jeune fille affreusement injuste. Mais elle ne tenait pas à se disputer avec son ami, alors elle ne dit rien. 

 

-         Pour qui tu te prends Potter ?! S’exclama une voix derriere Hermione, ce qui la fit sursauter bien qu’elle eu reconnu la voix de Theodore Nott. «  Pourquoi, par Merlin, apparait-il toujours derriere moi » Pensa la jeune fille.

 

Comme Nathan avait detourner son regard, elle put se retrouner… et tombez nez a nez a Theodore, ce qui l’a fit reculer brusquement.

 

-         Pour moi ! Repondit naturellement Harry.

-         Tu es bien pretencieux aujourd’hui ! Dit Nathan d’une voix froide.

-         Tu ne sais pas respecter tes superieurs, Potter ? Ajouta Theodore en se mettant à la hauteur d’Hermione, presque en la frolant

-         Parce que tu te crois superieur a lui ? Demanda Ginny, menacante.

-         Je suis un sang-pur ! Nous sommes de la haute societer alors que vous les sang-mele, les traitres a votre sang et les sang-de-bourbes, vous etes…pathetique ! Repondit froidement Theodore, toujours a la hauteur d’Hermione.

-         …Mais une parmis vous est peut-etre recuperable ! Ajouta doucement Nathan en dirigeant son regard vers Hermione, qui se retint de reculer.

 

Hermione devait s’avouer que le jeune Serpentard lui fesait peur depuis sa decouverte de ce matin. Mais jamais, au grand jamais, elle ne lui montrerait.

Bien que touts les regards furent sur elle, elle ne pipa mot.

 

-         Je suis d’accord avec Nathan. Repondit Theodore, un sourire accrocher au levres.

-         Moi aussi. Ajouta Drago, en devisageant la jeune Griffondore qui soutint son regard.

Hermione commencait vraiment a etre mal a l’aise et ne fut guere surprise en sentant son collier l’a brulé une nouvelle fois. Le pire était qu’elle sentait les regards de ses amis et des Serpentard mais egalement d’autre qui venaient de la Foret Interdite.

Elle voulait se retourner et au moment ou elle se decidait à le faire, Nathan s’avanca tel un serpent vers elle. Elle ne pouvait presque plus bouger, elle était petrifier de l’interieur.

 

-         Douce Hermione…. Ne voudrais-tu donc pas rejoindre les Tenebres ? Demanda-t-il d’une voix douce, à deux pas d’elle. Tu pourais faire partis des notres, le Seigneur des Tenebres n’y verrait aucun inconvegnant.

 

Hermione se surprit elle-meme à parler :

 

-         «  La forme, c’est le fond qui remonte à la surface », tout les adeptes de Voldemort portant la marque, soit la forme, pourrait voir qui il est reellement. La marque, c’est l’ame qui remonte a nous, qui se devoile. Et tout les mangemorts ont l’ame noir, souillé par les crimes. Or, je n’ai pas d’ame noir. Repondit Hermione. Victor Hugo, un moldu, l’avait compris.

 

Sa reponse jeta un froid encore plus intense sur l’assembler. La reponse était claire : Jamais Hermione ne rejoindrait les Tenebres. Et cela, Nathan et Theodore l’avaient bien compris. Nathan franchit alors les derniers pas qui le separaient de la jeune fille et s’arreta juste devant elle, la frolant.

 

-         Je te l’ai dis, tu rejoindras les Tenebres. Que tu le veuilles ou non. Cela doit se passer ainsi. C’est ecrit. Et si tu ne viens pas de pleins gre, cela sera les Tenebres qui viendront à toi.

-         Ne me sous-estime pas Lownes.

-         Et toi non plus.

 

Les deux ennemis se regarderent dans les yeux. Soudain, le tonerre gronda encore plus et le vent se leva d’avantage. Hermione se retint de se plier en deux, mais ne pue s’empecher de porter sa main a son rubis.

Ce dernier était plus rouge que jamais. Sentant d’autre presence, elle se retourna.

Ce qu’elle vit l’horrifia. Trois hommes vetus de capes noirs encerclaient un corps. Un corps qu’Hermione aurait pu reconnaitre entre mille, un corp qui avait un jour tenu une insouciente jeune fille.

 

-         PAPA ! Hurla Hermione en s’elancant dans la direction des hommes.

 

Deux des hommes transplanerent mais un recula legerement comme pour regarder le spectacle qui s’offrait a lui.

Hermione s’effondra pres de l’homme qui fut un jour son père, bien qu’adoptif. Mort, il était mort. Elle ne pleura pourtant pas, se refusant à se laisser aller. De toute facon, elle savait avec qu’ils n’arrivent que son père était mort…

Mais…voir son corps…c’était ignoble, inhumains !

 

La jeune fille dirigea son regard vers l’homme qui était resté. Il avait une canne  familiere a Hermione, trop familiere pour que la jeune fille ne la reconnaisse pas. Des cheveux d’un blond presque blanc. Lucius Malfoy dans toute sa splendeur.

 

Elle chercha discretement sa baguette et s’apercut avec effroi qu’elle ne l’avait plus. Elle jura silencieusement. Elle tourna son regard vers les Serpentard et vit avec lassitude que c’était Theodore qui avait surement pris sa baguette lorsqu’il l’avait froler, et qui en ce moment jouait avec en lui souriant sadiquement.

 

Hermione se retrouvait donc sans baguette, face à un des plus dangereux mangemorts qu’elle n’ai connue.

 

-         Miss Granger, ou devrais-je dire, Miss Rewen quel plaisir de vous revoir. Dit Lucius avec un sourire effrayant.

 

Hermione se releva lentement sans detourner ces yeux de l’ocean de son ennemi.

 

-         Bonjour Mr. Malfoy, je suis peinee de vous dire que le plaisir n’est pas partager. Repondit-elle sur un ton polaire.

-         J’espere que mon cadeau vous a plus Miss. Rewen ? Demanda Lucius d’une voix trop douce pour paraitre normale.

-         Je suis au regret de vous dire que j’aurais preferer quelque chose à mon gout. Repondit Hermione gardant toujours son ton polaire.

-         Oh mais cela sera bientôt a votre gout… Repondit mysterieusement le mangemort.

-         Que voulez-vous dire ? Demanda violement Hermione.

-         Soyez plus polie, voulez-vous ! S’exclama Lucius.

-         Avec un mangemort, ma politesse ne fait pas de frait.

-         Vos parents etaient egalement comme vous, notament votre mere. Je la connaissais particulierement…

-         Et pourquoi donc ?

 

Un sourire effrayant se dessina sur les levres de Lucius Malfoy et bientôt, Hermione regretta sa question.

 

-         Susan Rewen est ma demi-sœur.

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 20

Deuxieme partie

 

 

Un sourire effrayant se dessina sur les levres de Lucius Malfoy et bientôt, Hermione regretta sa question.

 

-         Susan Rewen est ma demi-sœur.

 

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Cette derniere phrase tournait en boucle dans son esprit. Sa veritable mere fut la demi-sœur de Lucius Malfoy.

 

Hermione n’essayait meme plus de comprendre, ni d’analyser. Elle avait un lien de parenter avec la famille Malfoy. La jeune rouge et or avait un haut-le-cœur juste à cette pensee.  Comment pourrait-elle avoir un lien de parenter avec Eux. Ces etres si ignoble ! Et cela voudrait dire que Lucius Malfoy serait dans une certaine mesure son oncle ?! Et Drago ? Son cousin eloigner ?!

Impossible, c’était impossible.

 

La jeune Griffondore se trouvait à la bibliotheque, au fond d’une alle relativement sombre. La tete dans les mains, les genous replier contre sa poitrine et perdue dans ses reflexions. Elle desesperait.

Merlin lui envoulait-il a ce point ? Quel crime avait-elle comit pour meriter de telle choses ?

 

En premiere annee, elle avait bien faillit se faire tuer par un troll.

En seconde annee, elle avait été petrifier par un basilic.

En troisieme annee, elle avait manquéde se faire dechiqueter par un loup-garou fou furieux.

En quatrieme annee, qui fut l’annee la plus mouvementer, elle s’était fait noyer dans le Lac Noir puis la mort de Cedric Diggoy puis on lui annonca que Lord Voldemort était revenu.

 

Donc, par Merlin lui-meme, pourquoi le destin s’acharnait tant sur elle ?

 

Elle savait que ses amis la cherchaient partout, ainsi que ses ennemis. Une fois que Lucius avait prononcé la phrase qui l’avait tant marqué, il avait transplané. Aussitôt, la jeune fille s’était sauver bousculant ses amis et ennemis, en fesant meme tomber Malfoy et Ronald. Elle ne s’était pas excuser, et n’en n’eprouver toujours pas le besoin. Elle avait entendue Ginny l’appeler. Elle ne s’était pas retourné et n’avais fait que courire pendant une vingtene de minutes.

 

Soudain, Hermione fondit en larmes. Silencieuses, les larmes coulerent une a une. Bien que petites, elles portaient un lourd fardeau dont se debarassait pour une courte periode la jeune proprietaire.

 

Pourtant, Hermione se sentait bien en cet instant. Personne ne songerait à venir voir dans une allee aussi sombre. L’odeur des livres et des parchemins envoutaient la rouge et or. Et bientôt, elle s’endormit.

 

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Eleonore Gybla se promenait dans les couloirs du château. Elle evitait le plus possible sa salle commune et les Serpentard qui y etaient, notament son cousin et ses amis qu’elle ne pouvait pas voir en peinture.

 

Elle les trouvait odieux, surtout qu’ils s’amusaient à « torturer » sa chere amie, Hermione. D’ailleurs, elle cherchait cette derniere pour lui souhaite un excellent anniversaire. Elle ignorait à ce moment que son amie était au bord du desespoir.

 

Alors qu’elle s’approchait d’un couloir, elle entendit plusieurs voix dont celle de son cousin. Ne voulant pas les croiser, elle se cacha derriere une statue et attendit qu’ils passent. Malheureusement pour elle, les Serpentards deciderent de s’arreter justement pres de la statue. Alors qu’elle se disait qu’elle devrait peut-etre sortir puis detaler, leur conversation lui pris toute son attention.

 

-         Qu’en je pense que cette fille a un lien de parenter avec toi, Drago ! S’exclama la voix de son cousin.

-         Ne m’en parle pas, je ne l’aurais jamais cru. Mais en meme temps, elle a beaucoups de caractere ! S’exclama à son tour la voix de Malfoy.

-         Allez, elle est intelligente et elle viendra de cote des Tenebres ! Repondit la voix Lownes.

-         Oui mais c’est quand meme Granger…enfin, Rewen ! S’enerva le blond.

 

Les voix s’eloignerent, et une fois qu’Eleonore fut sure qu’ils etaient partis elle se mit a courire en direction de la bibliotheque sure de trouver son amie rouge et or la-bas.

 

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La porte menant a la bibliotheque grinca fortement, ce fit reveiller en sursaut la jeune Griffondore qui se trouvait la. Elle pue apercevoir par la fenetre non loin de la que la penombre commencait à descendre delicatement sur Poudlard. Elle ignorait combien de temps elle fut restée la mais le temps lui-meme ne semblait pas l’avoir attendu. Elle se leva sans delicatesse et une fois debout resta tant bien que mal debout. Elle n’avait aucune envie de retrouver ses amis dans la Grande Salle, pourtant il le faudrait bien pour ne pas avoir plus de questions qu’elle n’en aurait déjà.

 

En tournant dans l’allee, elle percuta une forme identifiée sous le nom d’Eleonore Gybla. Cette derniere l’a pris dans ses bras avec un immense sourire.

 

Sans savoir exactement ce qu’elle fesait, Hermione lui rendit son etrainte s’accrochant comme une bouer de sauvetage. Elle ne pleura pas, mais ses yeux trahissaient l’envie qui était en elle. Le jour de son anniversaire, qui n’était toujours pas terminer d’ailleurs, il s’était passé beaucoups trop de chose… Et a cause de la declaration de Lucius Malfoy, elle savait qu’elle devrait aller parler a Dumbledore. Comme l’avait si bien dit Ginny, seul lui pourrait l’aider et la proteger.

 

Lucius Malfoy était un mangemort et ne devait pas etre le seul a savoir que…

 

Soudain, Hermione lacha Eleonore. Ses pensees se melangeaient puis prenaient un chemin clair en elle. Un dur chemin…

 

-         Il faut que j’aille voir Dumbledore ! S’exclama precitament la jeune rouge et or a son amie.

-         Fait attention ! Des Serpentards rodent dans les couloirs ! Lui dit Eleonore avant que son amie fut partie.

 

Elle n’eut pas de reponse.

 

 

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Dans son bureau, Albus Dumbledore attendait la jeune fille qui arriverait d’ici trois minutes environ. Au bout d’une minute, quelqu’un criait contre la statue qui gardait l’entree. Il decida de descendre pour acceuillire la jeune fille.

 

-         Allons, calmez-vous miss. Rewen. Venez dans mon bureau, je vous pris.

 

La jeune fille ne repondit pas et le suivit.

 

Quand Hermione entra dans le bureau directorale, elle fut surprise du nombre d’objets etrange qui s’y trouvait. Bien qu’Harry lui en ait fait part l’annee passe, elle pensait qu’il exagerait. Or, il avait simplifié les choses, au contraire.

 

Sous le regard bien veillant de son directeur, elle s’assit devant lui. Pendant quelques minutes, aucun d’eux ne parla. Se sondant du visage, ils se demandaient chacun qui allait prendre la parole en premier. Finalement, ce fut Dumbledore.

 

-         Alors, Hermione, que me vaut la raison de votre charmante presence ? Demanda le sage d’une voix bien veillante.

-         Je pense que vous le savez, professeur.

-         En effet.

-         Que dois-je faire pofesseur ? Les Serpentards sont au courant pour ma… situation. Et j’ai bien peur que les mangemorts ainsi que Voldemort soit egalement au courant. Apres ce qui s’est passé cette apres-midi…

-         Que s’était-il passer cette apres-midi, Miss ? Demanda Dumbledore, les sourciles froncé.

-         Lucius Malfoy est entre dans l’enceinte de Poudlard. Est-ce donc si inquietant, professeur ?

-         Etant donner le retour de Lord Voldemort, j’avais mis en place quelque sortileges pour proteger le château, or c’est inquietant que Lucius Malfoy est put entre dans l’enceinte.

-         Vous voulez dire que n’importe qui pourrait…

-         Oui Miss, mais nous savons tout deux que si Lord Voldemort sait que vous etes la derniere descendente de la famille Rewen, il essayera plus que tout de vous avoir en sa possession. Vous devez etre prudente.

-         Vous pensez qu’il est au courant ?

-         J’en suis certain. Et il vous traque. La meilleure arme de Voldemort, c’est vous. Vous, les adolescents. Mais pour lui, Miss. Rewen, vous etes son arme qui, si vous vous retourniez contre lui, serait fatale. L’apparition de Lucius Malfoy aujourd’hui n’était qu’une mise en garde. Nous ne sommes seulement qu’a l’aube de la guerre. La journee qui nous attendra sera longue, seule la nuit nous dira la veriter.

Ce fut sur ces dernieres paroles qu’Albus Dumbledore congedia la jeune fille. Lui conseillant d’etre toujours accompagner.

 

 

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Loin d’ici, dans un manoir sombre et inquietant, une reunion avait lieu. Une grande et repugnante silhouette se dressait devant une assembler, tous couverts de cape noir.

 

-         Il nous faut la fille. Mettez tout les moyens en œuvre, tué s’il le faut. Mais ramenez-la-moi. En vie. Intacte. Si nous l’avons, nous gagnerons.

 

L’assembler se mit a applaudire, poussant des cris de guerre. Sur le visage de la gande silhouette, un sourire cruel se dessina sur ses levres.

 

Bientôt, Tom Jedusor montrera a tous qu’il était le plus puissant. Tout le monde le craignerait. Il en était certain.

 

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-         Hermione ! Nous t’avons cherché partout ! S’exclama Ginny Weasley en voyant son amie s’assoire pres d’elle.

-         Je devais reflechir.

-         Tu aurais pu t’excuser de m’avoir bousculé ! S’exclama Ronalde, vexer.

-         Je ne suis pas d’humeur pour une dispute Ronald ! Repondit sechement la jeune fille.

-         Et pourquoi ? Tu es partie comme une furie ! Tu aurais pu nous attendre ! S’exclama le rouquin, facher que son amie lui ait parlé de cette manière.

-         Pour que vous me posiez des questions comme maintenant ? S’ecria Hermione,.

-         Oui ! On a le droit de savoir ! Tu pars, comme ca ! Comme si tu ne nous connaissais pas ! Tu fais tout le temps la tete, on dirait que tu es tortuer !

-         Tu ne comprendrais pas ! De toutes manieres, tu ne me comprends jamais ! S’ecria-t-elle en se levant et se dirigeant vers la sortit.

-         Tu as raison je ne comprendrais jamais ! Autant ne plus se parler ! Hurla-t-il.

-         Tant mieux ! Si c’est ce que tu veux ! Repondit froidement la jeune fille.

 

Elle n’attendit pas de reponse et partie. Le silence regna longuement dans la Grande Salle. Les professeurs etant etaient mis dans la confidence par le directeur, ils savaient qu’abondonner la jeune Griffondore en ce moment était une des choses  à ne pas faire. Surtout quand cela venait de son meilleur ami. Les professeurs le regardaient froidement, Mc.Gonnagale le fusillait literralement du regard, ainsi que le professeur Rogue.

Dumbledore était decu.

 

Le reste de l’assembler le regardait froidement.

 

Ronald Bilius Weasley venait de faire une terrible erreure…

 

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Au loin, une voix murmura dans la penombre de la nuit. Une voix glaciale.

 

-         Nous ne sommes seulement qu’a l’aube de la guerre. La journee qui nous attendra sera longue, seule la nuit nous dira la veriter.

Chapitre 21

 

Ce fut un mois qui passa, lentement et glacialement. Le temps demeurait sombre, le vent toujours aussi glaciale. Les mangemorts devenaient encore plus actifs, le mage noir devenait de plus en plus puissant et ne se cachait plus. La crainte commencait à prendre le dessus sur les eleves, enveloppant Poudlard d’une sombre sensation.

Cela faisait un mois qu’Hermione n’avait plus adresser la parole a Ronald. Elle evitait Harry, celui-ci devenant de plus en plus violent. Elle restait parfois avec Ginny, mais les jeunes filles ne se trouvaient pas toujours sur la meme longueur d’ondes. Les Serpentards lui jetaient des regards en coin, malveillants mais ne lui adressaient pour autant pas la parole.

 

Des a present, tous les Serpentards ainsi que les mangemorts etaient au courant qu’elle était la derniere descendente de cette si prestigieuse famille, les Rewen. Elle avait eu deux rendez-vous avec le directeru, Albus Dumbledore. Ce dernier faisait tout en œuvre pour que son statut ne se devoile pas. Mais tot ou tard, la veriter eclaterait. Elle le savait, et s’en inquietait.

 

La jeune Grinffondore n’avait toujours rien dit a Harry et Ronald. Seule Ginny était au courant.

 

Hermione Granger était en profonde solitude. Des pensees sombres l’a traversaient sans cesse, la plongeant peu a peu a une depression d’une grandeur vertiginente. La mort de son père adoptif avait été une grande epreuve, elle n’avait d’ailleurs toujours pas reussit à remonter la pente. Le fait que Lucius Malfoy était son oncle l’a repugnait, encore plus qu’avoir un lien de sang avec Drago. Ce dernier l’a regardait souvent, un regard pesant et opressant tout en etant glaciale. Des qu’elle le pouvait, la jeune fille le fuyait.  Fuyant Nathan et Theodore egalement.

Elle ne mangeait que le matin et le soir a la Grande Salle, tres peu. Elle devenait de plus en plus maigre, ses cernes violacees etaient plus que presente. Son teint pale était a faire peur. En clair, Hermione Granger –Rewen- n’était pas au meilleure de sa forme. Cela, meme les professeurs l’avaient remarqué et s’inquietaient pour la jeune fille. Malgre l’etat de la jeune demoiselle, ses resultats n’avaient pour autant pas baisser mais sa joie de vivre s’était envollee.

Hermione resterait toujours Hermione.

 

Comme ce soir-la, la jeune Grinffondor était adosser a un arbe, les genoux replier contre sa poitrine, fixant l’eau noir du lac. En deux mois, tellement de choses avaient changé. Trop de choses, beaucoups trop. Hermione ne s’était jamais sentie aussi mal de sa vie, cette annee ne faisait pourtant que commencer. Elle était loin de se terminer. Encore trop loin, la jeune fille desesperait. Tout cela était… trop pour une jeune fille de quinze ans. Comment pouvait-on supporter tout cela…. ?

 

En cet instant, Hermione reva etre un oiseau. Une delicieuse colombe s’eloignant de ce monde devastateur. Une colombe qui pouvait prendre le chemin de la liberte. Ce fut cette pense qui l’a fit revenir la, pres du lac sous le ciel noir encre. Elle jalousa la colombe. Elle, elle ne pouvait pas s’enfuir. Elle devait faire face de facon ignoble à cette vie cauchemardesque !

 

La jeune rouge et or soupira.  N’aura-t-elle jamais droit au bonheur ? C’était bien lancer pour que la reponse fut non.

 

-         Tu sais, un etre humain doit manger pour vivre ! S’exclama une voix froide derriere elle.

 

Hermione se releva precitament, surprise de le trouver la. Que lui voulait-il ? Cela fesait un mois qu’ils ne s’étaient pas adresser la parole, bien que le jeune homme l’avait regarder plusieur fois. Comme maintenant. Un regard de degout, de haine, de rancœur. Un regard oppressant et glaciale.

-         Que cela peut-il te faire, Malfoy ? Repondit Hermione sur un ton blaser.

-         Je n’aime pas voir les cadavres et ton etat me fait pensait a cela !

-         Tant mieux si le fait que tu me vois de repugne !

-         Tres drole Granger, enfin Rewen. Tu te prepares pour Halloween, c’est cela ?

-         Amusant ! Vraiment, Malfoy. Tu n’as pas d’autres idees stupides ? En meme temps, tu es stupide ! S’exclama la jeune fille avec un regard noir.

 

Elle était consciente que parler a un Serpentard de cette manière, de plus Drago, seule dans le parc a la nuit tombee était imprudent. Mais elle avait besoin de se defouler, et le jeune Serpentard était la meilleure personne.

 

-         De quel droit oses-tu me parler de cette manière ?

-         De quel droit oses-tu te comporter de cette facon avec moi ? Repondit du tac au tac la jeune fille.

-         Je suis plus grand que toi !

-         Parce que maintenant c’est la taille qui compte pour toi ?!

-         Oui. Moi au moins j’ai encore mes parents !

-         Sans cœur ! Sale mangemort ! Hurla Hermione, des larmes de rage se deversants sur ses joues.

 

Le jeune homme entendant la derniere insulte sortit sa baguette magique et la braqua sous la gorge de la jeune fille, en larme.  A ce moment il eu de la pitie pour la pauvre jeune demoiselle qui était devant lui. Si faible…mais si forte. Oui, la jeune Rewen était bien plus forte que personne. Plus forte que Saint-Potter. Elle avait du courage, enormement de courage et de la raison. A cette instant elle semblait si faible, si detruite, si…tenebreuse. Bien qu’il n’appreciait en aucun cas la jeune fille, il esperait qu’elle ne finirait pas du cote de Lord Voldemort. Elle perdrait alors toute trace de joie de vivre et ne serait qu’une pauvre esclave. Elle serait au cœur des Enfers. La mort lui semblerait alors la plus douce des potions, un reve qu’on l’empecherait d’atteindre. Elle ne vivrait plus, elle survivrait. Dans un monde qui ne serait pas le sien. Elle serait malheureuse, triste et surement depressive. Elle devrait tuer des personnes innoncentes, et si elle ne le ferait pas ce serait elle qui se ferait torturer. Mais pas tuer. C’était une des regles des mangemorts. Ils ne tuaient pas les leurs mais les torturaient. C’était bien pire que la mort. Elle serait une epave. Comme lui.

 

Sauf que lui, il avait un cœur. Sauf qu’il fallait le chercher loin, s’aventurer dans des labyrinthes d’où ne sortaient jamais, affronter des ombres effrayante. Et enfin, faire fondre la glace. Mais malgre tout, Drago Lucius Malfoy avait un cœur.

 

-         Tu ne connais rien de moi…. Murmura le jeune homme, encore perdu dans ses profondes pensees.

-         Et toi de moi…. Murmura la jeune fille en le regardant dans les yeux.

 

Les deux jeunes gens se fixaient sans detourner le regard. Le silence. Un silence qui pourtant n’était pas glaciale, ni colerique. Juste un silence, un silence commun. Un silence evadent. Un silence rare, d’où aucunes revaliter ni rancœur n’etaient presente. Juste un silence.

Hermione s’assit doucement dans l’herbe fraiche, sans detourner le regard du jeune blondinet.

Le blondinet s’assit egalement en face de la jeune Griffondore, ne la lachant egalement aucunement du regard.

 

C’était comme si un lien les unissait. Un lien impossible a brisé. Ce fut a cet instant que l’orage gronda furieusement. Les arbres se dechainants soudainement. Le vent arrachants presque l’herbe. La pluie tombant telle des lames fines.

 

Les deux jeunes adolescents se regarderent et se releverent precitament. Mais en se relevant, Hermione tribucha et s’etala de tout son long.  Drago, qui ne sut pourquoi, l’aida a se relever et se mit a courire vers les portes du château. Ce temps anormal l’effrayait au plus au point, et savait que Lord Voldemort n’y n’était pas pour rien. A croire qu’on les surveillaient.

 

Ils entrerent a bout de souffle dans le château, tremper et tremblants. Ils s’ecrouleren a mene le sol, reprenant difficilement leur respiration devenu saccader.

 

Drago jeta un coup d’œil à la jeune fille et retint difficilement un cri d’effroi. Une fine et nette coupure profonde était placée sur l’avant bras de la jeune rouge et or. Sa respiration était saccader, et les larmes ravager ses joues pales. Le sang s’ecoulait lentement mais abondament.

 

Il entendit des bruits de pas au bout du couloir, se rapprocher. Bientôt apparut  Blaise Zabini accompagner de Theodore Nott qui se figerent en voyant l’etat de la jeune fille. Ils se precipiterent a la rencontre de Drago, l’aidant à se relever puis ils se dirigerent tous les trois vers la jeune fille qui recula a la vue de Nott. Dans cet etat, elle était consciente qu’elle en pouvait pas se defendre. Nott se stoppa, laissant Zabini le depasser et s’agenouiller pres d’elle.  Blaise Zabini était bien l’un des seuls qui ne l’effrayait pas en ce moment. Ce dernier regarda la profonde blessure de la jeune fille et sortit sa baguette.  Juste a son regard, la jeune fille sut qu’il allait utiliser la magie noir. Chose qu’elle ne voulait absolument pas. Elle essaye de retirer sa main, mais le jeune metis la tenait fermement. Elle essaye de tirer plus fort, mais cela accentua sa douleur et elle ferma les yeux. Etre seule dans un couloir avec trois Serpentards ne lui effleura meme pas l’esprit. La douleur était beaucoups trop forte pour qu’elle ne pense à cela maintenant.

Elle entendit le jeune homme murmurer une formule qu’elle n’arriva pas à distinguer. Elle sut seulement que la plaie se refermait lentement. Elle était dans les vapes, semi-consciente. Elle n’avait presque plus aucune force pour garder les yeux ouverts, aussi les ferma-t-elle. Elle sentit qu’on la portait, mais elle se fichait du lieu ou on l’amenait. Elle était si bien dans ce silence, ce doux silence. Ce fut dans les bras d’un Serpentard qu’elle s’endormit.

 

«  Elle était cacher dans une armoire pas entierement fermer. Elle était dans le placard, pres de la sortie du salon. Les adultes avaient pris place dans celui-ci. Ils parlaient a voix basse. La jeune enfant n’entendait rien. Alors, elle poussa legerement la porte. Apparement trop car elle tomba et s’ecroula devant leur yeux. Elle vit un monsieur blond, ses cheveux allant jusqu'à son epaule. Sa mere l’a prit dans ses bras sous l’œil attentif des deux hommes. L’un son mari, l’autre son demi-frere. Ce dernier regardait la jeune fille, nicher dans les bras de sa mere, avec un sourire malveillant. Il surveillerait cette petite attentivement.  Ce fut a ce moment la que la haine qu’eprouva Lucius Malfoy pour la jeune Rewen naquit ».

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 22

 

Les pales rayons de lune que laissaient passer la fenetre entrouverte, se dessinaient sur les douces joues de la jeune fille.  Ses joues etaient aussi pales qu’une inconnue sur un lit de mort, ses cheveux d’ebenes etaient completement detacher et decoiffer. La jeune fille qui devait surmonter tant de choses ces derniers temps n’avait pourtant pas perdue de sa baute enchenteresse, mais ses traits etaient moins inn0cents.

Dans la penombre, trois jeunes garcons la fixaient. Ils demandaient combien de temps elle pourrait encore supporter tout cela.  Mais ils savaient egalement tous trois qu’elle devrait se rallier aux Tenebres, de gre ou de force. D’ailleurs, pour la jeune fille ces insinuations l’inquietaient. Mais pour le moment, dans ce doux sommeil, une phrase volait en boucle dans sa tete…

 

«  Susans Rewen est ma demi-sœur » ; « Susand Rewen est ma demi-sœur » ; « Susans Rewen est ma demi-sœur ».

 

Tout s’arreta. Le temps, les pensees, les phrases. Seuls resterent les souvenirs. Des souvenirs.

 

 «  Elle était cacher dans une armoire pas entierement fermer. Elle était dans le placard, pres de la sortie du salon. Les adultes avaient pris place dans celui-ci. Ils parlaient a voix basse. La jeune enfant n’entendait rien. Alors, elle poussa legerement la porte. Apparement trop car elle tomba et s’ecroula devant leur yeux. Elle vit un monsieur blond, ses cheveux allant jusqu'à son epaule. Sa mere l’a prit dans ses bras sous l’œil attentif des deux hommes. L’un son mari, l’autre son demi-frere. Ce dernier regardait la jeune fille, nicher dans les bras de sa mere, avec un sourire malveillant. Il surveillerait cette petite attentivement.  Ce fut a ce moment la que la haine qu’eprouva Lucius Malfoy pour la jeune Rewen naquit.

-         Est-ce donc ma chere niece, que je vois-la ? Demanda Lucius d’une voix glaciale, ses yeux sondant la jeune enfant qui soutint son regard.

-         Exacte, mon cher frere. Mais tu ne nous as toujours pas dis pourquoi cette visite si matinale. Remarqua Susan Rewen, tenant fermement son enfant au creu de ses bras.

-         Le Seigneur des Tenebres s’impatiente, et tu sais aussi bien que moi qu’il deteste attendre. N’est-ce pas ? Expliqua le blond.

-         Je le sais, en effet Lucius. Mais ce n’est qu’une enfant, c’est a elle de choisir. Murmura la femme.

-         Alors vous devez commencer a l’entrainer. Mais si tu ne le fais pas, ce sera moi. Apres tout, je suis son oncle.

-         Tu ne toucheras jamais à ma fille ! Siffla Susan, fusillant du regard son demi-frere.

-         Elle n’aura pas le choix, tu le sais.

-         Si, nous avons toujours le choix ! Mais toi, tu n’en sais rien.

-         Ne t’oppose pas a moi Susan, tu pourrais le regretter amerement.

-         Simplement parce que tu es l’ainer ? Pourquoi t’acharnes-tu donc tant sur elle ?

-         Tu comprendras un jour. Mais je te promets qu’Hermione Rewen appartiendra aux Tenebres !

 

L’enfer commenca… »

 

Hermione revint à elle brusquement. Ses souvenirs avaient du l’envelopper longuement car il fesait déjà jour, elle dirigea son regard vers la grande horloge qui tronait et vit qu’il était déjà 7h45. Les cours commencaient a 8h00. Si elle voulait se changer avant d’aller en cours, il lui restait seulement 10 minutes.

Elle monta rapidement l’escalier, ne se posant pas la question au passage du fait qu’elle était ici. Elle s’habilla de l’uniforme, se paigna tant bien que mal et prit ses affaires pour la matiner.

 

Elle commencait par Histoire de la Magie, en commun avec les Serdaigles. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas parlé a Luna Lovegood, une amie relativement etrange mais calme dans toutes situations. Au moins, elle ne verrait pas les Serpentards tout de suite. Mais tot au tard il faudrait les affronter, eux et leurs questions. Donc, Hermione ferait tout pour que cela soit tard. En temps de guerre, surtout contre de telles personnes, le courage n’était present qu’en pleine action. Or, la dite action n’était pas presente ce matin-la.

 

Ce matin-la, la jeune fille decida de ne pas dejeuner. D’une parce qu’elle n’avait pas le temps, et de deux car elle n’en eprouvait aucune envie. Cela fesait longtemps que manger n’était plus la proprieter de sa survie. Oui, car desormais elle survivait. Elle ne vivait plus.

 

Comme a son habitude, le ciel était d’un gris tenebreux. Comme si il s’appretait a les attaquer, ou a s’effondrer. S’effondrer, comme elle…

 

Hermione était certaine que les mangemorts allaient encore s’en prendre a quelqu’un aujourdhui, mais elle ne pouvait rien faire. Elle ne pourrait jamais rien faire à cela.

 

Ce fut dans ces idees si sombres que la jeune rouge et or rejoignit Luna Lovegood qui l’acceuillit, une fois de plus, de son eternel mystere.

 

-         Bonjour Hermione….

-         Bonjour Luna, comment vas-tu ? Demanda-t-elle poliment.

-         Bien. Une fee m’a dit bonjour se matin.

-         Vraiment ? Interessant. Repondit Hermione.

 

Hermione songea à ce qu’elle avait lu briavement dans un livre.

«  La fee est une petite creature decorative d’une intelligence mediocre. Souvent utilisee par les sorciers comme element ornemental, elle habite generalement les bois et les clairieres. D’une taille variant de deux a douze centimetres, la fee a un été, des membres et un peit corps humanoides, mais arbore de grandes ailes semblables a celles des insectes, transparentes ou multicolores selon les cas. La fee possede quelques faibles pouvoirs magiques dont elle peut se servir pour echapper a ses predateurs, tel l’Augurey. Elle est d’une nature querelleuse mais, en raison de sa vanite excessive, elle devient tres docile chaque fois qu’on lui demande de servir d’ornement. En depit de son apparence humaine, la fee est incapable de parler et communique avec ses semblables en emettant des bourdonnements aigus. »

 

Cela avait suffit à  la jeune fille pour se faire une idee et passer a un autre livre.

Elle se demanda vaguement comment la jeune blonde avait pu parler avec une fee, remarquand Ronald Weasley la fixer. D’une facon…glaciale.

 

Hermione tenta temps bien que mal de ne pas frissoner sous ce regard.  Harry Potter était egalement present, mais ne lui accorda pas un regard. Trois semaines. Voila trois semaines qu’elle ne lui avait pas adressé la parole. Et lui non plus. Elle avait essayé, mais en vain. Elle s’en voulait, ce garcon devrait affronter Lord Voldemort en personne et elle ne le soutenait point. Mais c’était lui qui l’evitait ou elle-meme ? Cela, elle ne le savait point. Peut-etre eux deux.

 

Elle porta son attention sur Ronald, qui continuait de la fixer d’une manière peu sympathique. D’une manière presque…malveillante. Hermione le regarda dans les yeux. De la glace. Elle avait l’impression d’etre entouree de glace. De froid. Mais un froid douloureux. Pas celui qui pourrait etre agreable. Non, ce froid était…trop. Beaucoups trop glacial, trop desagreable. Presque offusquant. Etoufant.

 

Elle ne pouvait plus detacher son regard de celui du rouqin, d’où un sourire en coin ornait ses fines levres. En cet instant loin de monde, Hermione crut faire face à une autre personne. Une autre personne qu’au rouquin avec qui elle s’était si souvent chamailler dans l’enfance mais egalement celui qui fut son meilleur ami. Presque un frere. Elle ne le reconnaissait plus. Celui à qui avait appartenu son amitie serait-il disparu ? La reponse demeura froide, tranchante. Oui.

 

Elle fut sortit de ses pensees à nouveau morose par l’arriver du professeur.  Elle s’assit pres de Luna, plonger dans ses pensees.

 

Le cour, comme a son habitude,  fut long et ennuyeux. Meme le sujet ne captiva pas l’attention de la « Miss-je-sais-tout ».

 

Perdue encore et toujours dans ses pensees, regardant par la fenetre. La pluie s’était abatue sur Poudlard. Chaques goutes semblaient a un aiguille. Une aiguille  ou une epine. Longue et douloureuse. Comme si le ciel pleurait son lourd fardau. Ses problemes, ses tristesses, ses noirceurs. L’eclair dechira le ciel. Le tonnerre fit trembler les murs du château. Le vent se dechena. Un spectacle effreyant et…fascinant. La couleur du ciel était plus noire que l’encre.

 

Hermione trembla legerement. Une mysterieuse angoisse lui saisissait la gorge. Elle pinca des levres. Son colier la brulait legerement. Elle avait un mauvais pressentiment. Un tres mauvais pressentiment.

 

Elle ne fut pas surprise que son colier la brula plus fort, non elle fut surprise de l’intensiter de la douleur. Elle ne pu s’enpecher de se plier en deux, de tomber et de pousser un gemissement douloureux. Que la douleur était forte, que la douleur était forte. Insoutenable.

 

Elle ne sut pourquoi mais elle pensa a la phrase que son « oncle » lui avait dit : « Susan Rewen est ma demi-sœur. ».  Quelque chose d’important était dans cette phrase, sans qu’elle puisse le saisir.

« Susan Rewen est ma demi-sœur… ». … Impossible…

 

C’était impossible…..

Chapitre 23

 

Elle ne sut pourquoi mais elle pensa a la phrase que son « oncle » lui avait dit : « Susan Rewen est ma demi-sœur. ».  Quelque chose d’important était dans cette phrase, sans qu’elle puisse le saisir.

« Susan Rewen est ma demi-sœur… ». … Impossible…

 

C’était impossible…..

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Le vent continuait à souffler, a hurler. Les nuages devenaient de plus en plus sombres, jusqu'à l’impossible.  Un paysage des plus effrayants.

 

Hermione respirait difficilement, a terre. Elle n’avait jamais connu telle douleur, plus forte surement qu’une sortilege de magie noir. Pire qu’un sortilege Impardonnable. Le pire ne fut pas seulement la douleur, mais les images qui s’imposerent a elle.

 

«  Un flash… sa veritable mere qui courrait tenant dans ses bras un nourisson… un autre flash… elle-meme qui courrait dans des bois a six ou sept ans… nouveau flash… une foret obscure pres d’un manoir… dernier flash… sa mere qui hurlait de douleur… »

 

La douleur cessa lentement, les gemissements douloureux de la jeune fille egalement. Elle se releva tant bien que mal, sous le regard des personnes presentes dans la piece. Elle partit, les larmes aux yeux.

 

Fuir était parfois la meilleure solution dans de telles circonstances. Hermione grimpa et descendit tous les escaliers du château, ne savant pas elle-meme ou elle se dirigeait. Tout ce qu’elle voulait, c’était etre seule. Masi avant d’etre seule, elle devait parler à Dumbledore. Elle avait une comprit une chose, une chose importante. Beaucoups trop importante pour etre ignoré. Cela dependait d’une vie.

En l’occurrence, de la vie de sa mere.

 

Ce fut pour cette raison qu'elle courra comme une folle jusqu'au bureau directorale. Mais elle n’avait, visiblement, point de chance cette annee-la. Le professeur était en deplacement, comme souvent ces temps derniers.  Aussi, devra-t-elle attendre jusqu'à son retour. Elle ne pouvait pas s’adresser a un autre professeur, ni directeur de maison.

 

Elle ne voulait pas retourner en cour, alors elle se dirigea vers la salle commune des prefets. Elle ne pensa pas un instant qu’il se pouvait qu’une personne, ou plusieurs, si trouve.

 

Alors qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle y decouvrit un certain blond accompagner de ses amis. « Problemes en perspectives ! » pensa la Griffondor.

 

Elle s’avanca lentement dans la piece sous le regard de Drago Malfoy, Blaise Zabini, Theodore Nott et Nathan Lownes.

« Pour resumer, je suis en presence d’une blondinette, d’un lunatique, d’un fou furieux et d’un buveur de sang… Quelle charmente compagnie ! Je suis gatee ! » Pensa-t-elle ironiquement.

 

Elle s’avanca directement vers sa chambre et fut surprise de ne pas etre interpeller par l’un des garcons. Une fois arrivé dans sa chambre, elle soupira. Que pouvait-elle faire ? Elle regarda dans sa petite bibliotheque un livre à trouver mais aucun ne lui donna gout. Alors, à contre-cœur, elle redescendit les marches de marbre pour choisir un livre dans la bibliotheque principale.

Les Serpentards la regarderent, ou plutôt la devisagerent. Cela genait quelque peu la jeune fille, bien que ces temps-ci elle en fut habituer.

 

-         Granger, tu n’es pas censer etre en cour ? Fit la voix du metis, sans haine ce qui la destabilisa.

-         Si, mais c’est trop long à expliquer. Lui repondit-elle, ne voulant pas se plonger dans le sujet.

-         Hermione Granger qui seches ? On aura tout vu ! S’exclama la voix de Theodore.

-         Et moi je vous aurais vu, à mon grand malheur. Repondit-elle sans se retourner.

-         Je te deconseille de jouer a la maligne, Rewen. Prevint Nathan, avec froideur.

 

Hermione se retourna enfin, et les devisagea a son tour. Se retrouver seule avec quatres Serpentards, notament ceux-ci, était completement irresponsable, elle en était consciente. Mais elle ne pouvait s’empecher de les provoquer.

 

-         Sinon quoi, Lownes ? Tu vas me mordre ? Provoqua Hermione.

-         Peut-etre bien, c’est tres tentant sais-tu ?

-         Surement pour une…chose… telle que toi.

-         Tu n’oses meme pas prononcer ce que je suis. Cela voudrait-il que je te fais peur ?

-         Bien sur que non.  Mais dis-moi, comment cela se fait-il que tu sois à Poudlard ? Normalement, les vampires devraient etre inferieur etant donner qu’ils ne sont pas des sorciers.

-         Fais attention à ce que tu dis. Je pourrais te le faire regretter.

-         T’aurais-je vexé ? Tu m’en vois ravie !

-         Es-tu consciente que tu es seule dans une piece avec quatres de tes ennemis? Ou cela t’a t-il echapper ?

-         J’avais remarqué Lownes. Mais vois-tu, je me fiche quelques peu de ce que tu penses.

 

Elle leur tourna à nouveau le dos, ne trouvant pas le livre qu’elle desirait. Elle était pourtant certaine que L’Empire Des Loups de Jean-Christophe Grange était bien la. Elle soupira profondement, ne se rendant pas compte que les garcons n’avaient pas repris leur conversation et que Theodore ainsi que Nathan s’etaient lever, se rapprochant dangereusement d’elle. Elle continua à fleurter entre les trois etageres quand elle vit un parchemin.  Etant curieuse et ne se rendant pas compte de ce qui allait suivre, elle parcourut les quelques mots, a voix basse, qui y figuraient.

 

-         … Tu receveras la marque par le maitre lors de fin de cinquieme annee… L.M

 

Lucius Malfoy. A son fils Drago. Hermione ne se rendit pas totu de suite compte de l’importance de la chose mais lorsqu’elle relue pour la troisieme fois la lettre, cela lui parut enfin. Son cœur commenca a battre au dela de la norme, des sueurs froides se formerent dans son dos. La piece l’etouffait, elle avait la sensation de multiples flammes lechants sa peau. Une seule idee, prevenir Harry… Elle se trouvait a cote d’un miroir et son regard devia sur celui-ci. Ce fut enfin a ce moment la qu’elle vu les deux jeunes hommes qui avaient de doutes evidence tout entendu. La sortie était juste face a elle, elle pourait facilement l’atteindre contre des mortels mais contre un vampire, cela n’était pas aussi sur. Pourtant, elle tenta le coup. Prenant tout son elan possible, elle se mit a courire le plus vite possible vers l’entree.  Elle avait sa main sur la poignee quand elle se sentit soudainement et fortement tirer en arriere. Ce fut donc pour cette raison qu’elle loupa les plusieurs marche et atterit sur le sol, pile poile en face de Drago et Blaise qui l’a devisageaient d’une manière glaciale. En cet instant, Hermione se sentit plus seule que jamais, plus en danger que jamais. Ils etaient tous les quatres de futur Mangemorts, au service de Voldemort, donc sans une once de pitier. Les deux Serpentards rejoignirent les deux autres garcons sur le meme divan, en face de la jeune fille qui était toujours à terre. Elle se releva lentement, ne les quittant pas des yeux, et s’’assit sur le fauteuil en face d’eux.  Un silence s’installa pendant plusieurs minutes, pour enfin etre briser par Blaise Zabini :

 

-         Que vas-tu faire ?

-         Vous le savez tres bien ! Je le dirai a Harry, et ce n’est surrement pas vous qui allait m’en empecher ! Repondit entre ses dents la jeune demoiselle.

-         Oh non tu ne vas rien dire du tout ma belle, sinon je te jure que les consequences seront bien facheuses… Siffla Theodore.

-         Tu crois vraiment que ce sont de telles menaces qui vont m’en empecher ?

-         Non, bien evidemment. Mais par contre, je peux t’aider.

-         Et en quoi Malfoy, cela m’etonnerais fortement d’avoir besoin de l’aide d’une pathetique fouine !

-         Je peux t’aider à retrouver ta mere. Annonca-t-il en la regardant dans les yeux, se levant pour s’approcher doucement d’elle.

-         … c’est du bluffe… Murmura la jeune Griffondore.

-         Je n’ai qu’une parole. Tu me connais, Rewen, je fais le mechant, mais je ne m’en jamais. Dit-il en se rapprochant d’avantage.

 

Hermione ne repondit pas mais continua a le regarder dans les yeux. Il ne l’aiderait pas, il n’était qu’un petit pretentieux, il la menerait tout droit a son futur Maitre. Mais d’une autre part, elle voulait tellement y croire. Voir sa mere, la serrer dans ses bras, lui parler, pleurer et lui raconter sa vie. Sa vie avant la guerre. Sa vie avant ce cauchemard. Sa vie avant le mal, ou seul l’amour comptait. Hermione ferma les yeux, luttant contre les larmes, refusant obsteniment de montrer une quelconque faiblesse face a ses ennemis. Elle cacha son visage parmis ses cheveux, cachant la seule larme qui coula le long de sa joue. Elle en avait marre, marre, marre de tout cela. La Guerre venait a peine de commencer, et elle lui causait tant de malheur ! Le tonnere resonna au dehors, comme il resonna a l’interieur d’elle. Le vent souffla a en arracher l’herbe fraiche, a deraciner les arbres. Marre, elle en avait tellement assez ! Elle demeura les yeux fermer, le cœur battait si vite que cela lui faisait mal, les larmes lui brulaient le visage tel du feu.

Ce fut a ce moment precis qu’il se passa quelque chose du plus surnaturel que la magie elle-meme.  Au dela de tout ce que pouvaient imaginer les cinq adolescents. Une lumiere blanche se libera du collier de la jeune Rewen pour se retrouver au centre de la piece. Une femme apparut, et dit d’une voix douce :

- « L’amour nous rend tellement aveugle

Elle nous detruit et nous fait trop de peine

Elle nous dit de pousser plus haut

Quand au fond nous avions tout faux

La cœur va trop vite et point ne pense

La tete se fou des consequences

Et puis en dedant de nous tout s’effondre

Lorsque la realite nous frappe

Les yeux remplis de larmes

De l’interieur nos pleurs nous inondes

On n’append a croire et a esperer

Mais au fond on ne fait que desesperer

Les solutions se font rares

Pourtant le mal, lui, est aquis comme l’art

La vie est injuste tellement de mensonges

Dans l’ombre de chaques doses

Une douleur, un mot desoler, il ne reste plus grand-chose

Une seule chance de partager nos songes

On passe notre vie a se questionner

Est-ce trop demander de vivre sans survivre

Dans un monde ou les gens s’aiment

Dans un monde ou enfin il n’y aura plus de haine. »

 

La jeune fixa les cinq adolescents puis s’arreta devant la jeune Rewen, qui ne cachait plus ses larmes qui coulaient silencieusement.

 

-         Ne perd jamais espoir, Hermione, un jour viendra. Et ne repousse pas l’Amour, quand c’est le vrai on ne cherche pas a l’eviter… Ne perd jamais espoir…

-         Maman…

 

La femme sourit, puis disparut. Mais Hermione continua a l’appeler, a crier pour finir par se mettre a hurler.

 

-         Maman !!!

 

Les larmes ravageaient les joues de la jeune fille. La jeune fille s’effondra a terre, tapant du point le sol, s’eccorchant jusqu’au sang . Drago partit immediatement chercher Eleonore Gybla, Theodore et Nathan partirent sans ceremonie. Seul resta Blaise qui était choquer de voir une jeune fille si forte qu’elle reagir de cette manière. Hermione n’avait pas plus la force de tenir debout, les mains en sang, n’ayant plus de voix, elle  resta allonger a meme le sol jusqu'à ce que le fils Zabini prenne l’initiative de la porter jusque dans sa chambre ou il l’allongea delicatement.

 

Apres avoir appeler une enieme fois sa mere, elle s’endormit enfin…